- 1°/ « Bruno découvre un risque majeur pour l’industrie française dont la production chute de 10% ! ».
- 2°/ La bonne nouvelle du « plein emploi aux USA » est une mauvaise nouvelle pour les taux !
- 3°/ Immobilier. « L’Ile-de-France face au défi vertigineux des passoires thermiques » selon Le Monde
- 4°/ La France livre l’Allemagne en gaz pour la 1ère fois de l’histoire !
- 5°/ Les avertissements du FMI aux détenteurs de Bitcoin … scénario catastrophe à 6 000 $ !
1°/ « Bruno découvre un risque majeur pour l’industrie française dont la production chute de 10% ! ». L’édito de Charles SANNAT
par Charles Sannat | 14 Oct 2022 | Chronique de l’effondrement
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Haaaaa, notre Steve Austin en col roulé, notre lumière du ministère, notre phare dans le cauchemar économique, notre vedette de la dette vient de parler.
Il vient d’entrevoir la lune, je dis bien entrevoir, parce que notre Bruno n’a pas encore franchi le Rubicon, son Rubicon.
Je l’aime notre Bruno. On sent bien qu’il a tout compris le pauvre bougre et qu’il est coincé de tous les côtés. Manu, Babeth-la-doudoune, sans oublier la Cruelle von-der la hyène, qui veut faire la guerre au monde entier. Pas facile de composer avec tout ça. Mettez-vous à sa place 30 seconde. Zut, quoi, faites preuve d’empathie.
La hausse des prix de l’énergie réduit de 10 % la production industrielle, dit Le Maire
Et là les enfants, il va falloir vous accrocher, parce que ce que nous savions, vous, mes poules et moi depuis des mois (sans oublier mon chat Grisouille) Bruno vient de le découvrir et là franchement faut se pincer pour y croire !
« La hausse des prix de l’électricité et du gaz va entraîner une baisse de 10 % de la production industrielle en France au quatrième trimestre, a déclaré jeudi le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire.
Cette inflation des prix de l’énergie « continue de pénaliser une grande partie de l’économie française », a dit Bruno Le Maire aux journalistes à l’issue d’une réunion avec les fédérations professionnelles sur les conséquences de la crise énergétique pour les entreprises.
« S’agissant de l’industrie, l’estimation (…) c’est que cette augmentation des prix de l’électricité et des prix du gaz conduit pour le quatrième trimestre à une réduction de 10 % de la production industrielle en France », a-t-il ajouté, évoquant un « risque majeur » pour l’industrie française ».
Un risque majeur… voilà. C’est ça mon Bruno que l’on essaie, nous, du haut de nos greniers et du bas de ton ministère de te dire. Un risque majeur, énorme, colossal, quoi, et qui n’est même pas un risque mais une évidence qui est en train de se matérialiser dans tes statistiques ! Mais le problème des statistiques, quand bien même elles sont vraies, c’est qu’elles arrivent toujours, je dis bien toujours, trop tard.
- On ne dirige pas avec les statistiques.
- On administre avec les statistiques.
- On administre par temps de paix, par temps calme.
Quand soufflent les vents des crises, des guerres ou de l’histoire, on n’attend pas les statistiques.
On dirige avec le cœur et avec l’esprit. On dirige avec une vision et des anticipations.
Selon Bruno qui nous sort une lemerderie « pour être rentable faut cesser de produire » !
« Les industriels (…) n’ont pas d’autre choix pour être rentables que de réduire leur production », a poursuivi le ministre de l’Economie, estimant qu’il y avait « quelques mois difficiles à faire passer ».
Elle est bien bonne celle-là. Pour être rentable faut réduire leur production ! Mon bon Bruno, les entreprises qui utilisent beaucoup d’énergie que l’on appelle pompeusement les « électro-intensifs » ils ne réduisent pas mon Bruno. Ils coupent. Ils éteignent. Ils cessent de produire. C’est pour ça que tu as un -10 % sur la production industriel. Oui le -10 % tu ne le sais pas encore mais au poker on dirait « pour voir ». Ce sera bientôt bien pire, car quand les premiers maillons de la chaîne cessent la production c’est toute la chaîne productive qui va cesser car tout est imbriqué.
La partie visible de l’iceberg
« Roland Lescure, ministre délégué à l’Industrie, a précisé que 350 entreprises avaient jusqu’à présent sollicité un soutien des pouvoirs publics via les différents mécanismes mis en place, tels que des rééchelonnements de dette ou des aides à l’activité partielle, mais qu’il s’agissait là seulement de « la partie visible de l’iceberg ».
La partie visible de l’iceberg, oui, nous sommes en pleine métaphore du Titanic.
Notre Bruno pense sans doute encore que nous sommes insubmersibles, pourtant, nous allons couler, nous allons tous couler si le gouvernement ne prend pas la mesure de la profondeur de la gravité de la situation. Personne, personne, aucune société, aucune commune, aucune entreprise, aucune association, groupement ou GIE et tout ce que vous voulez ne peut résister à une multiplication par 30 de sa facture d’électricité.
Personne.
Je crois qu’à Bercy, ils n’ont toujours pas compris parce qu’ils pensent sincèrement que l’on va passer un coup de téléphone au ministère pour solliciter une aide ou une haute autorité à la médiation de ma facture !
Dans les faits, les gens cessent la production, et quand ce ne sera plus tenable, ils déposeront tous leur bilan. Ce sera à partir de mai 2023 que tout cela commencera à se voir dans les statistiques.
Toujours trop peu, toujours trop tard.
Mes poules, elles, savent exactement ce qu’il va se passer si le bouclier tarifaire n’est pas étendu à toutes les personnes morales. Mieux, l’idéal serait de sortir du mécanisme européen de fixation des prix de l’électricité qui est un mécanisme mortifère et totalement hallucinant puisque nous produisons l’électricité la moins chère d’Europe mais nous devons la vendre à un prix de marché délirant basé sur le mode de production le plus coûteux !
L’Espagne et le Portugal, eux, en sont déjà sortis.
Allez, mon Bruno, la star de Bercy, la France compte sur toi, pas sur tes cols roulés !
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
2°/ La bonne nouvelle du « plein emploi aux USA » est une mauvaise nouvelle pour les taux !
par Charles Sannat | 14 Oct 2022 | Chronique de l’effondrement,
« La hausse des prix ne faiblit pas encore, laissant présager d’une poursuite de la remontée des taux directeurs des grandes banques centrales. L’hypothèse d’une récession reste centrale des deux côtés de l’Atlantique et assombrit l’ambiance. Quarante-cinq banques centrales ont relevé leurs taux d’intérêt directeurs au cours des dernières semaines, avec des effets généralisés à l’échelle mondiale ».
Oui vous avez bien lu.
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l’inflation ne diminue pas et c’est ce que j’essayais de vous montrer hier avec les graphiques de l’inflation des prix à la production qui est un indicateur avancé du taux d’inflation.
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nous allons bien vers une récession généralisée et mondialisée en raison de la hausse des taux.
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45 banques centrales montent les taux. Et là aussi c’est que je j’essaie de vous montrer quand je vous dis que le dollar monte contre toutes les devises. A chaque fois que la FED monte ses taux, le monde entier est obligé de suivre pour sauvegarder les parités de changes. Cela va créer une crise dans tous les pays émergents aux monnaies fragiles.
Enfin, comme on dit aux Etats-Unis…
« Good news is bad news »
« Aux États-Unis, selon le rapport mensuel sur l’emploi publié le 7 octobre, le nombre de postes créés en septembre a été plus important que prévu. Le taux de chômage a reculé à 3,5 % – soit une situation de quasi plein emploi. Et la consommation résiste ».
Cette bonne nouvelle pour l’économie est en réalité une très mauvaise nouvelle pour les marchés car cela veut dire que l’économie américaine est encore très vigoureuse donc inflationniste. Il va donc falloir augmenter les taux plus vite et plus haut que ce que les marchés avaient pour le moment anticipé.
Reportez-vous à mon dernier dossier stratégies « Les banques centrales vous attaquent, comment retourner leur stratégie en votre faveur » ou je vous explique ce que va faire la FED, à quel rythme et dans quelles proportions. C’est la clef patrimoniale des prochains mois. Si vous comprenez ce qu’il va se passer alors cela vous permettra non seulement de protéger votre patrimoine, mais surtout de transformer cette attaque des banques centrales en opportunités. Tous les renseignements pour vous abonner sont ici.
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur http://www.insolentiae.com. »
Source Le Revenu ici
3°/ Immobilier. « L’Ile-de-France face au défi vertigineux des passoires thermiques » selon Le Monde
par Charles Sannat | 14 Oct 2022 | Grille article, Immobilier
C’est un article du Monde un peu parisiano-centré, ou plutôt francilien-centré mais hormis cette légère remarque du provincial que je suis devenu, le Monde soulève un vrai sujet sur la transition énergétique dans l’immobilier et les difficultés et les complexités bien réelles auxquelles la France entière sera et est déjà confrontée.
Immobilier : l’Ile-de-France face au défi vertigineux des passoires thermiques
Sans travaux de rénovation énergétique, près d’un logement francilien sur deux sera bientôt interdit à la location. A Paris, les deux tiers du parc locatif privé sont classés E, F ou G.
Située à Houilles, dans les Yvelines, une copropriété classée énergivore, composée d’appartements à étiquette énergétique « F », voire « G », avait prévu avant la crise sanitaire de lourds travaux de rénovation – doublage de la façade et étanchéité du toit. Reportés, ils devaient être votés lors de l’assemblée générale (AG) des copropriétaires en mai, au moment où les factures de gaz flambaient. La réunion a mal tourné. « Certains copropriétaires se sont emportés et, devant la violence des participants, les travaux n’ont pas été votés et l’AG a été reportée », raconte le syndic Olivier Safar, par ailleurs président de l’Union des syndicats de l’immobilier (UNIS) d’Ile-de-France.
Derrière la discorde, des intérêts divergents entre une majorité de propriétaires occupant leurs logements et une minorité de propriétaires bailleurs ayant mis leurs biens en location. Rien n’oblige les premiers à faire les travaux, alors que les seconds, s’ils ne rénovent pas, ne pourront plus louer leurs appartements dès le 1er janvier 2023, s’ils sont étiquetés « G » et particulièrement énergivores (avec une consommation supérieure à 450 kilowattheures par mètre carré par an). L’interdiction concernera ensuite tous les biens classés « G » en 2025, les « F » en 2028 et les « E » en 2034, comme le prévoit la loi Climat et résilience.
« La situation devient compliquée lorsque la copropriété refuse les grosses rénovations, notamment pour les appartements situés sous les toits ou au premier étage au-dessus d’un porche non chauffé, souligne Olivier Safar. Les travaux réalisés à titre individuel ne permettent pas forcément de gagner une étiquette énergie. »
Loin d’être une exception, ce bras de fer risque de devenir monnaie courante dans les prochains mois et années en Ile-de-France, tant la région compte de passoires thermiques. Une étude réalisée par l’Institut Paris région, en partenariat avec l’Insee, et publiée jeudi 13 octobre, prévient en effet que « sans travaux de rénovation énergétique près d’un logement francilien sur deux [sera] bientôt interdit de location ».
Commencez-vous à voir le problème ?
Un logement sur deux va être considéré comme indécent dans les années qui viennent et sera interdit à la location.
Alors c’est bien gentil de vouloir un toit de qualité, isolé avec tous les raffinements du moment, mais la réalité c’est que c’est impossible.
Si nous respectons cette loi, alors il faudra mettre la moitié des locataires de ce pays à la rue.
Et le problème de la rue, c’est qu’il n’y a aucune isolation pour celui qui dort à la belle étoile.
Un mauvais toît est toujours mieux qu’aucun toit.
Plus grave, nous ne parlons pas ici d’insalubrité, ni de marchand de sommeil.
Nous parlons des logements dans lesquels nous vivons tous depuis toujours, et qui sont parfaitement confortables.
Confortables, sauf quand les prix de l’énergie sont multipliés par 30.
Et là le problème n’est pas la transition, mais bien le prix de l’énergie, prix totalement délirant contre lequel aucune isolation ne pourra plus rien faire.
Bref, la loi vient d’accoucher d’une usine à gaz complètement folle, et cette transition à marche forcée n’est en aucun souhaitable car les objectifs fixés sont hors sol, inaccessibles et ne seront pas atteints.
Il faut être ministre diplômé en mamamoucherie supérieure pour croire un seul instant qu’avec 10 % d’inflation et une récession, sans oublier l’explosion des impôts fonciers, on va pouvoir faire tous les travaux nécessaires dans les délais prévus. Ces histoires de passoires thermiques c’est vraiment à cause des cornichons qui nous dirigent et qui préparent la nouvelle crise du logement !
Ils sont affligeants.
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur http://www.insolentiae.com. »
Source Le Monde.fr ici
4°/ La France livre l’Allemagne en gaz pour la 1ère fois de l’histoire !
par Charles Sannat | 14 Oct 2022 | Energie,
Cette dépêche Reuters attire notre attention sur une grande première.
« La France a commencé jeudi à livrer directement du gaz à l’Allemagne à travers leur interconnexion frontalière, pour la première fois dans l’histoire des échanges entre les deux pays, dans le cadre d’un accord conclu pour faire face à la baisse des importations de gaz russe.
Les premières capacités de livraisons par gazoduc commercialisées s’élèvent à 31 gigawattheures par jour (GWh/j) alors que l’interconnexion d’Obergailbach (Moselle) peut permettre un flux maximum de 100 GWh/j, a annoncé dans un communiqué GRTgaz, qui gère la majeure partie du réseau de transport de gaz en France.
Voilà que nous livrons du précieux gaz à l’Allemagne qui en manque cruellement, et s’il est normal de le faire pour protéger nos amis allemands, il serait souhaitable que ces mêmes amis se montrent amicaux, et en échange nous permettent de fixer le prix de notre électricité comme cela nous arrange nous et pas eux. Car c’est l’Allemagne qui bloque et refuse que la France puisse fixer les prix de l’électricité par rapport à nos vrais coûts de production.
Pourquoi ?
Parce que nous serions 10 fois moins cher qu’en Allemagne et la grosse industrie de la Ruhr pourrait bien avoir envie de venir s’installer… en France !
Tout ceci n’est qu’une histoire de gros sous et Macron comme le Maire vont devoir choisir, et très vite maintenant, entre leur idéologie européiste et la mort de l’économie française qui entraînera la mort de l’Europe et du rêve de nos europathes. C’est incroyable de ne pas le comprendre !
« Thierry Trouvé, son directeur général, a précisé à des journalistes que le niveau de 31 GWh/j était lié aux conditions de fonctionnement du réseau, qui fait l’objet de travaux actuellement. Le dirigeant a ajouté ne pas être en mesure de dire à quelle échéance le maximum de 100 GWh/j pourrait être atteint.
« (Nous sommes) raisonnablement optimistes sur notre capacité à la fois à servir la demande, à soutenir la production d’électricité et à jouer la solidarité européenne », a ajouté Thierry Trouvé, confirmant les perspectives présentées par GRTgaz mi-septembre.
« Si c’est un hiver froid, le bilan est plus serré. Mais si on met en œuvre la sobriété (…), on considère qu’on peut faire face à un hiver froid ou très froid sans avoir besoin de réduire la consommation des Français. »
Ce sont des propos plutôt prudents et nuancés !
Jamais la météo n’aura autant été scrutée et finalement tout le monde va bénir le réchauffement climatique !
Charles SANNAT
Source Agence de presse Reuters via Boursorama.com ici
https://insolentiae.com/la-france-livre-lallemagne-en-gaz-pour-la-1ere-fois-de-lhistoire/
5°/ Les avertissements du FMI aux détenteurs de Bitcoin : scénario catastrophe à 6 000 $ !
par Charles Sannat | 14 Oct 2022 | Cryptomonnaies
« Jusqu’au début de la pandémie du coronavirus, le Bitcoin évoluait indépendamment des marchés boursiers. Il était donc considéré comme un bon complément pour un portefeuille équilibré.
Mais la situation a considérablement changé après que les banques centrales ont commencé à injecter d’énormes quantités de liquidités sur le marché afin d’atténuer les effets négatifs de la pandémie.
Malgré le ralentissement de l’économie mondiale et la rupture des chaînes d’approvisionnement, les marchés boursiers et le BTC/USD ont atteint de nouveaux records. Une grande partie de l’argent supplémentaire de la banque centrale a été investie non seulement dans des actifs traditionnels, mais aussi dans des actifs numériques. Depuis lors, le bitcoin est corrélé aux valeurs mobilières.
L’emballement de l’inflation a conduit la Fed à commencer à modifier l’orientation de sa politique monétaire à l’automne dernier. L’augmentation des taux d’intérêt et la réduction du bilan ont eu pour conséquence un assèchement des liquidités, raison pour laquelle le bitcoin a évolué à la baisse, tout comme les marchés des actions.
Le Fonds monétaire international (FMI) a mis en garde contre le risque d’une grave récession mondiale en 2023. Parallèlement, de plus en plus de banques centrales durcissent leur politique monétaire, car c’est le seul moyen d’absorber l’inflation croissante.
Si une récession sévère devait vraiment se produire, l’aversion au risque sur les marchés augmenterait, ce qui priverait également le bitcoin de ressources financières supplémentaires.
Le directeur de Midas Touch Consulting, Florian Grummes, part du principe que le BTC franchira le support de 18 000 dollars et qu’il faudra s’attendre à un test de la barre des 10 000 dollars. Comme scénario du pire, Grummes évoque une chute à 6 000 dollars. Mais selon Grummes, le prochain marché haussier arrivera certainement, très probablement autour du halving en mai 2024 ».
En gros l’idée ici est de dire que tant que nous serons dans le resserrement monétaire il ne faut pas s’attendre à une performance particulière des cryptomonnaies.
C’est assez logique, car les cryptos restent sensibles à la conjoncture économique tout le monde cherchant à sécuriser ses gains ou à compenser les pertes occasionnées par la baisse des marchés. Ensuite ici on ne prend pas en considération l’aspect régulation.
On n’évoque pas plus l’aspect énergétique puisque les cryptomonnaies sont très énergivores, et il ne faut pas qu’une monnaie soit « coûteuse » et l’instrument d’échange monétaire doit être proche de zéro.
Cela va poser un véritable soucis aux MNBC les monnaies numériques des banques centrales.
Jouer aux « geeks » nécessite beaucoup d’énergie abondante et pas chère.
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur http://www.insolentiae.com. »
Source Investing.com ici