1°/« Attal, Le Maire, Cazenave, les Tondeurs-Flingueurs de votre épargne. Protégez-vous ! ».
2°/Alors que la FED recule sur la baisse des taux, Christine Lagarde explique que la BCE n’est « pas dépendante de la Fed » !
3°/A 100 jours des JO, ils n’ont pas de réservation pour leur Airbnb !
4°/Pour s’en mettre plein les fouilles, halte aux fouilles archéologiques dans le BTP !
5°/Voitures électriques. Aucune durabilité et des inquiétudes sur la réparabilité

1°/« Attal, Le Maire, Cazenave, les Tondeurs-Flingueurs de votre épargne. Protégez-vous ! ». L’édito de Charles SANNAT
par Charles Sannat | 18 Avr 2024 | A la une, Impôts & Fiscalité

Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Cette information est essentielle pour vous… enfin pour vos impôts !
Au cas où vous ne l’auriez pas compris, la France ne fera pas faillite.
La France est solide grâce à vous, grâce à nous, et pour être plus précis grâce à votre argent, à votre épargne.
1 – Le HCFP juge peu crédible le plan de réduction du déficit du gouvernement
Le HCFP c’est le Haut Conseil des finances publiques l’organe de la Cour des comptes et qui a estimé dans un avis que l’objectif du gouvernement d’un retour à un déficit public sous 3% du produit intérieur brut (PIB) en 2027 « manque de crédibilité » au regard de la dégradation actuelle des finances publiques et des prévisions de croissance économique!
Sans blague. Le HCFP ne va pas jusqu’à dire que nous sommes dirigés par des Mozart de la finance qui jouent des fausses notes et une mauvaise partition mais presque.
L’institution alerte sur le manque de cohérence de cette nouvelle trajectoire. Son premier président, Pierre Moscovici, dans un entretien exclusif au Figaro, juge que les promesses de l’exécutif manquent de crédibilité, notamment sur la réduction des dépenses…
2 -Moscovici. Il est défavorablement connu de mes services de police avicoles (des poulets quoi).
Depuis des années mes poules de cristal accumulent un dossier épais comme le bras sur Pierre Moscovici. Ministre de l’économie qui défaille et des finances qui dérapent, camarade commissaire européen, puis président de la basse-cour des comptes qui tombent pas ronds. N’oublions non pas plus son amour pour la belle Marie-Charline et son chat à qui Moscovici faisait prendre son bain. Vous remarquez que cette dernière avait eu le goût exquis d’avoir un chat nommé Hamlet et pas une chatte ce qui évitera de nombreux propos grivois. Bref, ce n’est pas les mentions au casier de ce mamamouchi qui manquent !
Alors écoutons ces derniers propos au sujet justement de cette gestion ciselée à la Mozart.
« On ne réduit pas aussi massivement les dépenses publiques sans effet sur la croissance économique. Un scénario cohérent supposerait donc de changer soit la prévision macroéconomique, soit celle des finances publiques. »
Là nous sommes d’accord. D’un point de vue technique, il y a une grosse coquille dans le potage.
Mais le mieux c’est quand le Figaro l’interroge sur ce qu’il faudrait faire… et là on sent les années d’expérience dans le rien qui remontent à la surface
« Nous devons retrouver des marges de manœuvre. Pour cela, il faut de la volonté politique, du courage, car c’est sans doute impopulaire, de l’intelligence pour définir les économies qui ne nuisent pas à la croissance indispensable, et de la pédagogie. »…
Nous y voilà.
L’effort indispensable de pédagogie.
3 – Quand on nous parle de pédagogie c’est que nous allons avoir des problèmes !
Vous avez compris je suppose, depuis le temps que nous vivons en Macronie.
En Macronie, qui est une grande démocratie, celle de la Corée de l’Ouest, on fait toujours preuve de pédagogie avant de vous envoyer les Brav-M et les CRS si vous n’avez pas compris la pédagogie. Phase 1, la pédagogie qui explique pourquoi il faut que vous obéissiez.
Gilets Jaunes ? Pédagogie puis flashballs.
Mouvement sur les retraites ? D’abord de la pédagogie bien évidemment, puis flashballs.
Les vaccins ? D’abord de la pédagogie (tous vaccinés, tous protégés) puis…passe sanitaire.
Ici nous parlons de sous. De dettes. De déficits.
Donc la pédagogie c’est vous expliquer pourquoi vous allez devoir faire plein d’efforts. Travailler plus, gagner moins, travailler plus longtemps, retraite plus petite. Moins d’hôpital et évidemment payer plus d’impôts. Pour vous faire payer plus d’impôts… de la pédagogie. Puis après la taxation d’office puisque vous serez d’accord.
Ici vous ne risquez pas d’être éborgné par un flashball, rassurez-vous, c’est juste votre épargne qui va se faire amputer, vos revenus qui seront éborgnés, et vous qui souffrirez d’une belle hernie fiscale au niveau L1,L2, L3, L4, L5 mais aussi L6, 7, 8, 9, 10… c’est fou le nombre de vertèbres que nous avons !
4 – La hernie fiscale inévitable…
« Compte tenu de la dégradation du solde public enregistrée en 2023 par rapport à la prévision de la LPFP [loi de programmation des finances publics] et d’hypothèses de croissance moins élevées, le retour du déficit public sous trois points de PIB en 2027 supposerait un ajustement structurel massif entre 2023 et 2027 », pointe le HCFP.
« Le Haut Conseil considère que cette prévision manque de crédibilité: alors qu’un tel effort en dépenses n’a jamais été réalisé par le passé, sa documentation reste à ce stade lacunaire et sa réalisation suppose la mise en place d’une gouvernance rigoureuse », ajoute-t-il.
Et quand un effort de réduction de dépenses de cette ampleur n’a jamais été fait, sachez qu’il n’a aucune raison de l’être cette fois.
Donc, et c’est une résolution logique, d’un problème logique. Si nous ne sommes pas capable de faire cet effort de réduction des dépenses, nous ferons, enfin, nous subirons la seule chose facile qu’ils sachent faire depuis que je suis né dans ce pays… augmenter les impôts.
Poursuivons le raisonnement logique et rationnel.
Ils vont donc tondre un peu plus les épargnants.
Faisons une analogie avec les moutons. Espèce animale bien connue de tous les contribuables français.
5 – Pour tondre un mouton, il faut qu’il ne bouge pas !
Si vous appliquez ce principe aux contribuables français, vous pouvez en déduire assez facilement ce qui ne bouge pas ou difficilement. L’immobilier par exemple évidemment. Donc nous pouvons déjà avoir une bonne idée de ce qui va être taxé plus.
C’est la première bonne nouvelle.
Anticiper la future tonte, avec quelle tondeuse, et qui sera le tondeur…
6 -Attal, le tondeur flingueur de votre épargne.
Et le problème avec les tondeurs flingueurs, c’est qu’ils veulent engourdir notre pognon et toucher à notre grisbi. D’ailleurs vous le savez tous. Les cons ça osent tout et c’est même à cela qu’on les reconnait.
Mais j’ai une deuxième bonne nouvelle.
Ce n’est pas parce qu’ils veulent nous tondre, qu’il faut les laisser faire.
Nous avons de très nombreuses possibilités en réalité pour leur échapper et leur rendre la tâche beaucoup plus difficile. D’ailleurs, dans ce pays, malgré une pression fiscale ahurissante digne de la Corée de l’Ouest, seul pays du monde libre avec plus de 60% d’impôts et où le conseil constitutionnel de la république démocratique de Corée de l’Ouest y juge confiscatoire un niveau d’impôt uniquement à partir… de 75% !
Oui, mes amis, vous avez bien lu.
Nous sommes en démocratie. En démocratie l’impôt ne peut pas être confiscatoire. Et chez nous, l’impôt n’est jugé confiscatoire qu’à partir de 75% !
Royalement quand vous accumulez un grisbi de 100, le politburo de Bercy considère avec l’appui du Conseil Constitutionnel qu’ils peuvent vous prendre 75 % et vous laisser royalement 25 %.
Je vous le dis.
Je vous le répète.
La France est solvable grâce à nous tous !
Hahahahahahaha.
Voilà.
7 – Echapper aux Tondeurs Flingueurs c’est possible !
Sinon, vous pouvez éviter les tondeurs flingueurs et bien évidemment pacifiquement et légalement !
Il faut anticiper et se préparer. Et c’est pour cela que je vous ai rédigé un 1er dossier spécial intitulé « La France en marche vers la faillite ? Votre épargne sera sacrifiée avant » (tous les renseignements pour vous abonner ici).
Pourquoi un 1er dossier ? Simple, dans ce dossier il est déjà possible d’anticiper les impôts qui vont monter et donc de définir certaines stratégies. Mais il y aura des précisions quand les Tondeurs-flingueurs vont rendre leur rapport sur la taxation des rentes fin juin, après les élections européennes (jusqu’au 9 juin ils feront de la pédagogie). Après le 9 juin ? Ils flinguent votre épargne.
Avec ces précisions il nous sera possible de définir de nouvelles stratégies, non pas d’évasion fiscale, mais d’évitement fiscal, pour échapper à la hernie du même nom. Il y aura donc un deuxième dossier avec des stratégies ciselées en fonction des circonstances.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT

2°/Alors que la FED recule sur la baisse des taux, Christine Lagarde explique que la BCE n’est « pas dépendante de la Fed » !
par Charles Sannat | 18 Avr 2024 | Banques Centrales,

Du côté des Etats-Unis le président de la FED a expliqué que les taux pourraient rester plus hauts plus longtemps que prévu initialement. La bonne blague. L’inflation sera « endémique ».
Chez nous, la présidente de la Banque centrale européenne Christine Lagarde a affirmé à Washington que la BCE était « dépendante des données mais pas de la Fed », en termes de calendrier de baisses des taux notamment.
Il est libre Max et Christine aussi.
« Nous sommes dépendants des données. Nous en avons eues en mars et un peu en avril. C’est sur cette base que nous devons prendre nos décisions et non sur la base d’une banque centrale dans le monde, dût-elle être la Fed », a affirmé la patronne de la BCE alors qu’il est question d’une première baisse des taux en zone euro en juin. Sans s’engager sur cette date, Mme Lagarde a redit observer en zone euro « un processus de désinflation ».
Hahahahahahaha…
Meuh non comme disent les vaches copines de mes poules par chez moi.
Le problème des taux en Europe, c’est la dette des Etats !
Voyons Christine.
Soyons sérieux.
Nous savons que les pays dirigés par les Mozart de la finance, ce qui fait un véritable orchestre d’ailleurs tant ils sont nombreux en Europe, ne peuvent pas supporter des taux élevés pendant… plus longtemps que prévu, sans que cela ne risque de créer… une crise de solvabilité.
« On a besoin d’avoir confiance dans ce processus, mais si cela continue dans le sens prévu, si on ne fait pas face à un choc majeur, on se dirige vers le moment où on doit modérer la politique monétaire restrictive », a-t-elle déclaré.
Cela tombe plutôt mal Christine car si Israël riposte à la riposte ce qui entraîne une riposte à laquelle il y aura riposte, côté « choc » nous risquons d’être gâtés.
Charles SANNAT
Source Boursorama.com ici

3°/A 100 jours des JO, ils n’ont pas de réservation pour leur Airbnb !
par Charles Sannat | 18 Avr 2024 | Investir son argent

« Je n’ai aucune réservation » : à 100 jours des JO, la désillusion des hôteliers et propriétaires d’Airbnb.
« Certains prédisaient une « poule aux œufs d’or » grâce à des revenus locatifs mirobolants durant la période des Jeux olympiques de Paris. Mais à cent jours de leur lancement, c’est la douche froide. Particuliers et professionnels, trop gourmands, n’hésitent plus à baisser leurs prix pour remplir leurs établissements. C’est le cas d’Anna, gestionnaire de locaux commerciaux à Paris, qui a mis son logement en location sur Airbnb en misant sur le mauvais cheval : « J’ai eu beaucoup de demandes de réservations dès que les tickets étaient en vente, mais je n’ai rien accepté. J’ai voulu attendre quelques semaines pour mettre un prix plus élevé. Résultat, je n’ai aucune réservation du 26 juillet au 11 août ». Pour cette période, la quadragénaire espérait louer son deux-pièces du quartier Montorgueil à 1.000 euros la nuitée, pour cinq personnes. « J’ai déjà baissé mon prix de 30 % par rapport à mes estimations et je vais attendre jusqu’à la fin du mois de mai. Si la situation ne s’améliore pas, je vais encore revoir mes tarifs », déplore-t-elle.
Anna est loin d’être la seule à avoir cédé à l’appât du gain. Simon, qui loue son appartement dans le 18e arrondissement de Paris, n’a « pas encore de réservations pour les Jeux olympiques ». Proposé, dans un premier temps, à 400 euros la nuit, son bien est désormais proposé à 250 euros, « à [son] grand regret ». « Les propriétaires s’attendaient à gagner des revenus cinq ou six fois plus importants qu’en temps normal, mais leurs attentes étaient peu réalistes », sourit Quentin Brackers de Hugo, le cofondateur de HostnFly.
Du côté d’Airbnb, la plateforme cite une étude Deloitte qui « anticipe une hausse moyenne de 85% des revenus (moins de fois deux) en Île-de-France durant la période des Jeux olympiques par rapport aux revenus des hôtes en 2022 ».
J’ai comme l’impression que la déception de ces « spéculateurs » des JO ne va pas faire pleurer dans les chaumières, et je serais le premier à ne pas verser ma larme.
Et pour cause.
La sagesse populaire le dit depuis la nuit des temps!
« Mieux vaut un tien, que deux tu l’auras ».
Si je suis partisan du capitalisme rhénan (celui des entreprises et des entrepreneurs, pas celui du capitalisme financier anglosaxon), la spéculation sans borne trouve toujours ses limites.
Et c’est justement le miracle du « marché libre » et de la formation des prix.
Il y a des prix où les gens ne viennent plus. Où les consommateurs ne sont pas au rendez-vous.
Et pour cause… à trop vouloir gagner, à spéculer uniquement, les prix affichés sont totalement décorrélés d’une logique économique raisonnable.
A 1.000 euros la nuitée c’est tout simplement du vol.
L’appât absolu du gain.
Et… cela ne fonctionne pas.
C’est une très bonne chose et c’est vertueux.
N’oubliez jamais cette citation du grand économiste Coluche !
« Pour qu’un truc ne se vende pas, suffit que les gens l’achètent pas » !
C’est simple l’économie.
Charles SANNAT
https://insolentiae.com/a-100-jours-des-jo-ils-nont-pas-de-reservation-pour-leur-airbnb/

4°/Pour s’en mettre plein les fouilles, halte aux fouilles archéologiques dans le BTP !
par Charles Sannat | 18 Avr 2024 | Immobilier

« Creuser un trou pour un trou » : les archéologues ne décolèrent pas contre Rachida Dati…
Il faut dire que Rachida a décidé de simplifier les fouilles pour qu’on puisse enfin s’en mettre un peu plus plein les fouilles.
Je dis cela pour le jeu de mots car côté complexité, ces histoires de fouilles sont assez agaçantes car à chaque fois que l’on fait un chantier il faut faire des fouilles préventives.
Si jamais on retrouve un petit morceau de silex taillé en biseau le chantier est arrêté et on creuse, on creuse, on fait des trous, des petits trous partout.
Cela coûte cher… très cher même, cela retarde tous les chantiers et complexifie encore un peu plus les choses.
La volonté de la ministre de la Culture de réformer la réglementation de l’archéologie préventive, suscite de fortes réticences parmi les archéologues !
Forcément. Un médecin veut donner des médicaments. Un contrôleur des impôts veut faire un redressement. Un restaurateur veut vous faire manger et un archéologue veut faire des trous, frotter au pinceau et espère trouver un… trésor !
Hélas, dans la majorité des cas, on creuse globalement pour rien.
On creuse pour des découvertes insignifiantes.
L’archéologie préventive
« En cause : la loi de 2001 sur l’archéologie dite préventive. Une loi qui oblige ceux qui artificialisent les sols, pour construire une route, un projet immobilier ou un centre commercial, à financer des fouilles si l’État le juge nécessaire. Or, comme l’expriment des archéologues dans une tribune publiée dans le journal Le Monde, lorsqu’il est décidé de creuser, ce n’est jamais pour le plaisir de ne rien trouver. Selon eux, des sondages ne sont prescrits que pour un quart des 50.000 hectares de sols artificialisés chaque année, alors que des millions de sites archéologiques restent à découvrir en France. »
L’exemple du château de Dampierre
Les archéologues, « stupéfaits » disent-ils par les propos de la ministre, rappellent que dans le cas du château de Dampierre dans les Yvelines, les fouilles ont permis de révéler des jardins et des bassins disparus, sans avoir coûté plus de 1% du budget de la restauration. »
C’est vrai et encore une fois, il y a toujours une bonne raison à toujours plus de lois, mais il faut veiller à trouver les justes équilibres. Si on creuse à côté d’un château, il y a une probabilité importante de trouver quelque chose. En plein milieu d’un champs loin des anciennes voies romaines ou routes et éloignés des habitations, il y a très peu de chance de trouver quoi que ce soit.
Surtout, et c’est plus profond, si l’on veut simplifier, alors il faudra faire des choix vers du moins.
Et cela est valable pour toutes les simplifications que nous entreprendrons.
Simplifier ce sera toujours moins de contrôle, de fouilles, de sécurité ou de normes.
Charles SANNAT
Source France Info ici

5°/Voitures électriques. Aucune durabilité et des inquiétudes sur la réparabilité
par Charles Sannat | 18 Avr 2024 | Environnement

Les problèmes avec les voitures électriques s’empilent, s’enchainent.
Nous les connaissons tous.
Mais l’un des plus problématique est évidemment la réparabilité et la durabilité.
Il faut avoir les pièces. Il faut que les véhicules soient conçus pour être réparables et réparés.
Rien de tout cela n’est pris en compte.
Il faut des mois pour avoir des pièces détachées de Tesla et encore quand elles existent.
Une voiture thermique dure en moyenne… 19 ans.
Pour l’électrique nous nous rapprochons de la voiture jetable et c’est terrible en cas d’accident où la réparation est rarement réalisable même pour une voiture… neuve.
Nous marchons sur la tête avec cette électrification à marche forcée… qui ne marche pas, parce qu’un changement d’usage et d’industrie, cela prend du temps.
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur http://www.insolentiae.com. »

