Jacques Cheminade et Solidarité & Progrès ont décidé d’apporter leur soutien à la candidature de Georges Kuzmanovic à l’élection présidentielle et de faire campagne aux côtés de son mouvement, République Souveraine, pour les élections législatives
Cela s’inscrit dans les efforts poursuivis depuis plus d’un an pour faire émerger une candidature d’union des souverainistes contre l’occupation financière de notre pays, pour les prochaines échéances électorales et au-delà. Puisse cette union s’élargir et rassembler tous ceux qui veulent « rendre l’argent au peuple et la souveraineté à la France » |
Georges Kuzmanovic
Agissons ensemble !
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Notre campagne pour une candidature d’union
Candidature d’union face à l’occupation financière : et si on faisait le point ?
Beau succès pour la conférence de rentrée de S&P
https://solidariteetprogres.fr/nos-actions-20/declarations/presidentielles-nous-ferons.html
Ajout par Sans a PrioriBiographieDjordje Kuzmanović naît en 1973 à Belgrade, en République fédérative socialiste de Yougoslavie. Son père est Serbe1, travailleur dans un institut de sciences politiques2, et a milité lors du mouvement étudiant de 1968 à Belgrade. Sa mère est originaire de Lorraine.Arrivé en France à sept ans, il milite à Lutte ouvrière durant son adolescence2. Il passe en 1999 son diplôme d’études approfondies en science politique3 à l’université Panthéon-Sorbonne avec comme mémoire Le militantisme à Lutte ouvrière et Jeunes diplômés et travail précaire, sous la direction de Michel Offerlé et de Christian Baudelot4. Il étudie ensuite au Centre for Strategic and Diplomatic Studies (en)3 puis la socioéconomie au Massachusetts Institute of Technology à Cambridge aux États-Unis5.À vingt-et-un ans, il part en mission humanitaire au Rwanda, après le génocide des Tutsis. Il est chargé d’identifier les enfants orphelins et perdus dans des camps de réfugiés. Au Mali, il construit des puits et des dispensaires. Dans l’Hexagone, il gère un lieu d’hébergement pour sans-abris à Paris6 et fonde avec plusieurs camarades l’ONG Autremonde, où il rencontre notamment Benoît Hamon et Charlotte Girard2. Cette dernière le présente en 2005 au sénateur Jean-Luc Mélenchon, encore membre du Parti socialiste. Lorsque ce dernier, en 2008, quitte son parti pour fonder le Parti de gauche (PG), Kuzmanovic le rejoint dans cette nouvelle organisation politique1, dont il monte une section locale en Russie. Peu de temps après, il regagne la France, intègre le service d’ordre du parti et crée des liens d’amitiés avec Mélenchon2.Au bureau national du PG, il est élu en 2013 secrétaire national en charges des questions internationales et de défense7. Il devient porte parole et conseiller de Jean-Luc Mélenchon sur ces thématiques à l’occasion de l’élection présidentielle de 2017. Il se porte candidat pour La France insoumise aux législatives de la même année, dans la troisième circonscription du Pas-de-Calais mais échoue à la quatrième place8.En septembre 2018, il est au centre d’une controverse à gauche et au sein de son mouvement lorsqu’il plaide dans L’Obs le nécessaire « assèchement des flux migratoires »9,10. Ces désaccords débouchent sur son exclusion de la liste de La France insoumise pour les élections européennes de 2019, deux mois plus tard. Le parti explique que cette radiation intervient après que Kuzmanovic « ait publiquement réitéré des propos considérant comme secondaires les luttes féministes et LGBT, alors qu’elles font partie intégrante » du programme électoral. L’intéressé acte son départ du parti en novembre 2018, et met en cause à la fois « un manque profond de démocratie » dû à « l’extrême concentration du pouvoir aux mains d’un petit groupe […] aux convictions mollement sociales-démocrates » et une branche militante qu’il qualifie de « communautariste » et « gauchiste »9,11.Il est lieutenant de réserve de l’Armée de terre.
Il fonde en mars 2019 le parti République souveraine qui propose de « dépasser le clivage gauche-droite sous sa forme classique, en retrouvant la logique du Conseil national de la Résistance » et de s’opposer au « bloc ultralibéral, européiste et atlantiste ». Il en est le président15. Il utilise désormais le nom de Georges Kuzmanovic16.Il annonce en septembre 2021 sa candidature à l’élection présidentielle de 202217. À la suite de cette initiative, il déclare avoir été mis à pied en vue d’un licenciement de ses fonctions de manager chez l’entreprise Ubisoft18. |