1°/« La différence entre le bon riche et le mauvais riche expliquée par Cocquerel ! ».
2°/Chasse aux sorcières. Licenciements en masse de ceux qui se sont réjouis de l’assassinat de Charlie Kirk.
3°/Le délire Zucman se poursuit « toute la question c’est comment on taxe toute cette richesse » !
4°/La mortalité infantile en France augmente uniquement chez les plus pauvres !
5°/LCI parle de l’immigration.. d’intégration et des problèmes réels !
1°/« La différence entre le bon riche et le mauvais riche expliquée par Cocquerel ! ».
par Charles Sannat | 17 Sep 2025 | A la une, Impôts & F
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Là je peux m’en donner à cœur joie tant l’actualité nous donne des exemples truculents de la bêtise de nos dirigeants qui se sont lancés dans la foire à la saucisse de la taxation du méchant riche.
En effet dans notre pays, personne ne veut être celui qui fera l’effort, donc on va chercher le bouc émissaire du riche que l’on pourra taxer encore et toujours, jusqu’à tout lui prendre pour financer nos délires et comme le disait Margaret Thatcher, et le problème avec le socialisme est que vous finissez un jour par avoir dépensé tout l’argent des autres » et c’est une évidence.
Vous pouvez détester Thatcher et ce qu’elle représente, détester la politique qu’elle a menée, cette réflexion reste parfaitement juste.
On ne peut distribuer que les richesses créées et encore qu’une fraction, car il faut laisser du capital pour pouvoir innover, laisser des réserves pour passer les moments de crise, mettre encore de côté pour pouvoir saisir l’opportunité d’un rachat etc…
Mais revenons-en à notre Eric Coquerel national et président de la commission des finances de l’Assemblée nationale tout de même le voilà qu’il fait la différence entre les bons riches, et les mauvais riches.
C’est évidemment à chaque fois la même chose.
Le méchant riche ce n’est jamais soi, c’est l’autre.
La taxe Zucman sera donc pour les autres.
Lui, le Éric, il ne voit pas pourquoi à l’assemblée il faudrait faire un effort.
Avec leurs émoluments confortables de députés payés par nos sous, ils ne se sentent pas riches du tout…
Ha… le bon riche et le mauvais riche…
Il faut prendre le temps de l’écouter défendre le coût de nos députés… en finissant par dire « si vous continuez on va finir par dire que la démocratie coute trop cher »… Et bien oui Moniseur, certains le pensent.
Ce n’est pas mon cas.
Qu’un député de la nation gagne 5.000 euros par mois ne m’empêche pas de trouver le sommeil contrairement au fait que la drogue et la cocaïne circulent à la l’assemblée ce qui me gène nettement plus la conduite d’un pays sous emprise de la drogue devant être aussi interdite que celle d’une voiture.
Qu’un ancien ministre de l’intérieur ou premier ministre dispose d’officiers de sécurité ne me privera pas plus de sommeil et il est important que ces dirigeants puissent être protégés… comme tous les autres Français.
En réalité ce qui doit être dit ce n’est pas comment jeter à la vindicte populaire les « riches » c’est à dire toujours l’autre, celui qui a plus que soi.
L’important c’est comment peut-on augmenter le niveau de prospérité global d’un pays et ici nous parlons du notre.
Penser qu’en France, pays le plus taxé au monde c’est en taxant encore plus que l’on va améliorer notre situation c’est au mieux de l’idéologie et de la démagogie, mais le plus souvent de la bêtise, chez nous c’est de la folie !
« La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent » disait Albert Einstein.
Tous nos gentils de gauche qui n’ont que le mot taxe aux lèvres sont en train de sombrer dans la folie fiscale la plus pure pour notre plus grand malheur à tous.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
2°/Chasse aux sorcières. Licenciements en masse de ceux qui se sont réjouis de l’assassinat de Charlie Kirk.
par Charles Sannat | 17 Sep 2025 | Démocratie
Les États-Unis sont en réalité habitués à ce genre de phénomènes. Souvenez-vous du maccarthysme qui était une politique de délation et de persécution menée aux États-Unis dans les années 1950, à l’encontre de personnalités taxées de sympathies communistes.
Vous avez un phénomène sensiblement identique à l’œuvre aujourd’hui et qui n’est rien d’autre que la réponse à la chasse aux sorcières dont on était victime tous les gens dits conservateurs par les pas franchement aimables wokistes pendant les années Biden où ces derniers ne se montraient pas franchement ouverts et au contraire faisait licencier tous ceux qui affichaient une opinion opposée.
Des travailleurs sont licenciés à cause de publications se moquant ou célébrant la mort de Charlie Kirk titre le Wall Street Journal (source ici).
Certaines entreprises licencient des employés pour des publications sur les réseaux sociaux se moquant de la mort de Charlie Kirk.
Les travailleurs de tout le pays qui se sont moqués de la mort de Charlie Kirk en ligne ont rapidement appris que leurs propos pouvaient les faire licencier.
D’American Airlines au Nasdaq, en passant par des entreprises comme la restauration, les écoles et les cabinets d’avocats, des employeurs ont licencié ou suspendu des employés ces derniers jours pour avoir jubilé, raillé ou publié des publications controversées concernant le meurtre du militant conservateur. Nombre d’entre eux sont signalés par des activistes en ligne qui ont recueilli les noms des commentateurs. Certains conservateurs de premier plan ont également rejoint l’appel.
« Quand vous voyez quelqu’un célébrer le meurtre de Charlie, appelez-le – et, bon sang, appelez son employeur », a déclaré le vice-président JD Vance alors qu’il était l’invité d’honneur du podcast du regretté Kirk lundi.
La réaction rapide des entreprises témoigne de leur volonté de se distancier des commentaires politiques qui risquent de nuire à leur réputation auprès des consommateurs – ou de l’administration Trump. Ces dernières années, les chefs d’entreprise se sont montrés moins conciliants envers les opinions personnelles de leurs salariés sur des sujets tels que la guerre à Gaza, l’immigration et les droits des personnes transgenres.
Le tollé suscité par les commentaires des employés sur Kirk a toutefois posé un nouveau défi aux employeurs, affirment les dirigeants.
« C’est très différent », a déclaré Vanessa Matsis-McCready, directrice juridique adjointe et vice-présidente des services RH chez Engage PEO, qui gère les fonctions de travail pour les petites et moyennes entreprises. « Je ne pense vraiment pas qu’il fut un temps où une personne pouvait publier une déclaration sur ses réseaux sociaux et voir son employeur recevoir des milliers d’appels ».
Des employeurs, dont le cabinet d’avocats Perkins Coie de Washington, les Carolina Panthers et d’autres, ont déclaré avoir licencié des employés ayant tenu des propos ou publié des messages en ligne contraires à leurs valeurs. Les services secrets ont mis un agent en congé sans solde pour une publication sur Facebook mentionnant le « karma ». ODP Corporation, la société mère d’Office Depot, a déclaré avoir licencié des employés après la diffusion d’une vidéo montrant un employé refusant d’imprimer une affiche pour une veillée de l’Église.
Un site web anonyme avait collecté des dizaines de milliers de noms de commentateurs, de comptes de réseaux sociaux et d’employeurs. Certains messages saluaient sa mort, tandis que d’autres dénigraient ou raillaient certaines des opinions les plus clivantes de Kirk.
Une autre militante politique conservatrice, Olivia Krolczyk , a indiqué sur X ce week-end avoir contacté 471 employeurs.
« J’ai mal aux doigts. J’ai mal aux yeux », a-t-elle écrit, ajoutant : « Ça en vaut la peine ».
1 -La place de la politique en entreprise !
Ce qui secoue les États-Unis actuellement arrivera aussi dans notre pays où les tensions idéologiques et intellectuelles sont également de plus en plus palpables. On voit très bien chez nous la radicalisation des positions politiques ou religieuses qui n’épargnent pas les entreprises ce qui n’est pas sans poser d’incommensurables problèmes aux sociétés tant le droit du travail est complexe en France. Aux Etats-Unis c’est moins le cas et le licenciement y est très facile.
Ce qui est certain, c’est que la frontière entre vie privée et vis professionnelle est devenue très ténue dans un monde virtualisé où chacun se met en scène à travers les réseaux sociaux et je pense notamment à Linkedin le réseau le plus professionnel, mais généralement les gens affichent ce qu’ils sont, ce qu’ils font, là où ils habitent et là où ils travaillent. Si l’on se revendique de chez Microsoft et que l’on agit publiquement, il ne faut pas s’étonner qu’une sanction puisse tomber en fonction de propos qui peuvent mettre l’entreprise en situation délicate.
La réalité c’est que les gens pensent pouvoir tout dire sur les réseaux. Que cela n’aura aucune conséquence, car c’est « virtuel », et c’est effectivement virtuel.
Les gens doivent apprendre que leurs paroles publiques les engagent dans un monde où finalement chacun, peut en permanence communiquer avec le monde entier.
Nos enfants, en particulier et nos jeunes doivent apprendre à maîtriser leur communication personnelle sur les réseaux sociaux pour ne pas se faire déborder.
Nous devons également tous réapprendre surtout chez les plus jeunes à gérer aussi nos émotions et nos réactions face aux évènements d’actualité.
Quand les émotions prennent le pas, la réflexion s’efface.
Cela a toujours été le cas, mais à l’époque qui est la nôtre ces excès se voient, sont publiés, sont publics.
Plus que jamais la discrétion et la retenue sont d’immenses qualités en voie de disparition.
Une retenue nécessaire pour tous d’ailleurs surtout lorsque les accusations portées le sont à tort !
2 – Fausses accusations
« L’un des défis actuels pour les employeurs est de déterminer quelles publications dépassent les bornes et devraient entraîner le licenciement d’un employé, » affirment les spécialistes des ressources humaines. Dans certains cas, des employés affirment avoir perdu leur emploi pour des publications qui n’encourageaient pas la violence ni ne célébraient le meurtre de Kirk.
Les campagnes en ligne ont également impliqué à tort certaines personnes.
Cynthia Rehberg, directrice adjointe d’une école primaire du Wisconsin, a découvert que sa photo d’employé avait été publiée de manière inexacte sur X, en même temps qu’une publication sur les réseaux sociaux célébrant la mort de Kirk. Le district scolaire a déclaré avoir reçu des milliers de commentaires, ainsi que des centaines d’appels téléphoniques. Certains ont directement menacé Rehberg, qui affirme éprouver une profonde sympathie pour la famille Kirk.
Ryan Fournier, un militant conservateur, avait promu la publication et l’avait supprimée tard dimanche, plusieurs jours après que la rumeur ait commencé à circuler, a-t-elle déclaré.
Lundi, environ 100 élèves ont dû quitter l’école pour des raisons de sécurité, a déclaré le surintendant, Jason Tadlock.
Fournier a ensuite précisé sur X que Rehberg n’avait pas publié le commentaire concernant Kirk.
« À l’avenir, nous demandons que tous les signalements incluent autant de détails que possible, accompagnés de captures d’écran et de preuves à l’appui », a-t-il écrit. « Nous devons continuer à dénoncer les personnes qui se moquent de la mort de Charlie Kirk, mais l’exactitude est essentielle. »
Rehberg a déclaré qu’elle espérait que cet épisode rappellerait que toutes les affirmations faites sur les réseaux sociaux ne sont pas exactes et que de vraies personnes sont affectées par de telles accusations publiques.
« C’est une bonne leçon pour les étudiants, les adultes, tous, où, lorsque nous tombons sur une publication, nous la regardons de manière critique. »
Vous avez sous les yeux un moment de chasse aux sorcières, un moment d’excès, un moment d’instrumentalisation politique qui répond à la même chasse aux sorcières odieuse dont avait été victime les conservateurs pendant les 4 années du mandat Biden.
N’imaginez que cela ne puisse pas se passer chez nous. Lorsque l’on empêche l’expression d’opinions opposées, cela se termine toujours ainsi. La cocotte minute explose et emporte tout avec elle.
C’est ce qu’il va se passer dans toute l’Europe tant le climat est étouffant sur la liberté de parole et c’est exactement ce que le Vice-Président Vance était venu dire à Munich et c’est aussi ainsi qu’ils vont savonner la planche des élites européistes et globalistes qui dirigent encore les principaux européens.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
3°/Le délire Zucman se poursuit « toute la question c’est comment on taxe toute cette richesse » !
par Charles Sannat | 17 Sep 2025 | Impôts & Fiscalité
Monsieur Zucman qui est un très brillant économiste, bien au-delà de mes modestes compétences, développe une pensée d’une originalité incroyable à la hauteur de son CV académique.
Pour Zucman, il n’y a aucun problème réel et il ne faut pas exagérer la gravité de notre situation puisqu’il y a énormément de richesses privées dans notre pays dit-il.
Puis de préciser que la seule question c’est comment taxer plus ces richesses en réalité.
Il est tout de même dommage de travailler autant pour arriver à des propositions aussi indigentes et surtout injustes, car il n’y a aucun fondement moral à la taxation de la richesse privée.
Il y a juste là, sous vos yeux, encore une application du principe de Bastiat qui disait : « l’Etat, c’est la grande fiction par laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde.”
Parce que ce n’est que de cela dont on parle.
La grande masse des plus pauvres, ou de ceux qui se croient pauvres, et de ceux qui n’ont jamais rien produit sans l’argent des autres, cherchent à taxer plus, toujours plus ceux qui ont le courage de produire encore un peu. Cela ne dure qu’un temps et Zucman ne taxera qu’une seule fois… parce que « le problème avec le socialisme est que vous finissez un jour par avoir dépensé tout l’argent des autres ».
Ils se pensent malins en expliquant qu’ils iront lier la taxation à la nationalité mais ils ne comprennent pas que les gens entreprenants partiront ailleurs, à Dubaï ou aux Etats-Unis, ils renonceront à leur passeport français et toutes ces pertes d’opportunités dont notre pays est déjà victime ne sont jamais chiffrées.
Tout ceci est du délire, et la taxe Zucman est un délire dont les médias sont complices et qui détruit notre pays à petit feu.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
4°/La mortalité infantile en France augmente uniquement chez les plus pauvres !
par Charles Sannat | 17 Sep 2025 | Chronique de l’effondrement
C’est une étude très intéressante et qui devrait faire la « une » de tous les journaux du BJM Médecine et sur laquelle tous ceux qui pensent que penser aux autres est l’objectif de la politique et de l’économie car cette étude (source BJM Médecin ici) démontre sans ambiguïté que le taux de mortalité infantile n’augmente pas chez les « riches » mais augmentent uniquement chez les pauvres.
C’est exactement pour ce genre de raison que vous m’entendez exprimer mon désaccord intellectuel sur les primes de Noël pour payer des cadeaux stupides avec de l’argent que nous n’avons pas pour des enfants qui finalement ont réussir à survivre à la mortalité infantile ! Les cadeaux ne relèvent pas de l’Etat, ce qui relève de l’état c’est d’assurer la santé de tous et de construire des hôpitaux en ayant formé au préalable de bons médecins et nous ne manquons pas de talents et de jeunes qui veulent embrasser la carrière médicale.
En faisant de la démagogie sur les cadeaux de Noël en croyant faire de la fausse générosité nous en oublions l’essentiel et le plus important. Soigner nos plus faibles, instruire nos plus précaires et nos moins aidés par leurs familles.
Revenons à cette étude.
A – Ce que l’on sait déjà sur ce sujet
La mortalité néonatale est fortement liée aux facteurs socio-économiques, tant au niveau individuel que territorial.
Le risque de décès néonatal est considérablement plus élevé dans les zones les plus défavorisées, ce qui fait de ces inégalités un facteur évitable de mortalité néonatale.
Bien que les taux de mortalité néonatale continuent de diminuer dans la plupart des pays, les progrès ont ralenti et, en France, une légère tendance à la hausse de la mortalité néonatale est observée depuis 2012.
B – Ce que cette étude ajoute
Entre 2015 et 2020, un indice combinant des mesures de statut socio-économique basées sur la zone (indice de privation périnatale français) a montré une augmentation linéaire des taux de mortalité néonatale avec l’augmentation de la privation dans la commune de résidence de la mère.
Le risque de décès néonatal était 1,71 fois plus élevé parmi les 20 % de naissances issues des zones les plus défavorisées que parmi les 20 % issues des zones les moins défavorisées
Les taux de mortalité néonatale en France étaient plus élevés en 2015-2020 qu’en 2001-2008 et ont augmenté exclusivement dans les zones défavorisées, alors que les taux sont restés stables dans les zones les moins défavorisées, entraînant un creusement des inégalités socio-économiques
C – Comment cette étude pourrait affecter la recherche, la pratique ou la politique
La recherche devrait se concentrer sur la compréhension des mécanismes sous-jacents aux inégalités territoriales en étudiant les différences dans les caractéristiques de la population, l’accès aux soins de santé, les facteurs environnementaux et la qualité des soins entre les zones les moins et les plus défavorisées.
Les résultats suggèrent que les inégalités socio-économiques ont contribué à l’aggravation récente des taux de mortalité néonatale en France et appellent à des actions de santé publique ciblant les zones les plus à risque, qui ont été identifiées dans cette étude.
La réalité vécue…
La réalité observationnelle, c’est qu’en zone rurale il n’y a plus d’hôpitaux, vous êtes loin de la maternité de bon niveau et vous pouvez y arriver tout simplement trop tard.
Dans les zones urbaines dites populaires la tension dans les établissements est incroyable pour ne pas dire l’agressivité et la chienlit est telle que le personnel qui tient est désabusé. La réalité observationnelle c’est que la médecine n’a rien à voir entre l’hôpital américain de Neuilly et l’hôpital public de Bobigny. Je ne juge ici personne, je pose les maux d’un triste constat qui consiste évidemment en une rupture d’égalité de tous devant la médecine. Dans les faits, la médecine est devenue payante. On fait juste semblant de croire que ce n’est pas le cas, mais c’est le cas.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
https://insolentiae.com/la-mortalite-infantile-en-france-augmente-uniquement-chez-les-plus-pauvres/
5°/LCI parle de l’immigration.. d’intégration et des problèmes réels !
par Charles Sannat | 17 Sep 2025 | Chronique de l’effondrement,
Il y a parfois des moments où le voile épais des mensonges ou des non-dits se soulève pour laisser transparaître les véritables sujets, les bonnes questions et les remarques pertinentes sur des sujets qui étaient autrefois interdits d’antenne encore plus sur LCI !
Voilà une petite vidéo à voir…
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
https://insolentiae.com/lci-parle-de-limmigration-dintegration-et-des-problemes-reels/
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Sans a priori 