6195 – Charles Sannat « L’effroyable démagogie sur le pouvoir d’achat des partis politiques pour la campagne ! ». -25.06.24 – Insolentiae

1°/« L’effroyable démagogie sur le pouvoir d’achat des partis politiques pour la campagne ! ».
2°/Immobilier. Le téléphone ne sonne plus depuis l’annonce de la dissolution !
3°/BNP Paribas n’est plus la première capitalisation bancaire en zone euro
4°/Angoissé ? Attentiste ? L’efficacité de l’action contre l’anxiété liée à la dissolution.
5°/Sujet de réflexion. Une inégalité est-elle une injustice ?


1°/« L’effroyable démagogie sur le pouvoir d’achat des partis politiques pour la campagne ! ». L’édito de Charles SANNAT
par Charles Sannat | 25 Juin 2024 | A la une, Crise Economique


Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Je ne reviens même pas sur le programme du Front Populaire, vous savez ce que j’en pense, en 48 heures ce sera l’intervention du Fonds Monétaire. C’est un programme absurde qui ferait de la France une véritable Corée de l’Ouest.
Arrêtons-nous sur les deux programmes qui semblent les moins délirants, à savoir celui d’Ensemble qui est ce qui reste d’En Marche, devenu Renaissance… mais qui est en train de mourir, et du RN emmené par le jeune et fringant Bardelle qui plait tant à la jeunesse de ce pays, ce qui est un phénomène politique bien trop peu chroniqué tant il est important pour les années à venir.
Du côté d’En marche-Ensemble on veut raser gratis avec l’argent que l’on n’a pas et commencer à permettre à certains d’acheter une maison ou un appartement sans payer de frais de notaire sous certaines conditions de ressources (faibles).
Du côté du RN on veut « redonner » du pouvoir d’achat en baissant la TVA, mais ce n’est pas forcément une bonne idée parce que les finances sont contraintes et qu’il est fort probable que l’audit des finances publiques que demandera Bardella une fois hypothétiquement au pouvoir, lui annonce, ce que je peux déjà lui prédire… Jordan y a plus de sous !
Les caisses sont vides !
Alors pour redonner du pouvoir d’achat dans une situation terriblement contrainte, il va falloir « simplement » cibler le plus efficacement des allègements uniquement vers ceux qui en ont le plus besoin.
Idéalement d’ailleurs, il faut permettre surtout à tous de retrouver le chemin de l’emploi.
La meilleure façon de redonner du pouvoir d’achat c’est de donner de l’emploi.
Quand il y a beaucoup d’emplois, alors on tend vers le plein-emploi, et cela permet de voir une augmentation des salaires et c’est la bonne chose à faire.
Cela prend du temps, mais c’est la seule stratégie économique durable, crédible à suivre.
Il faut aider non pas tout le monde avec une baisse généralisée de la TVA qui serait une bonne idée avec des caisses pleines. Mais avec les caisses vides, cela sera contre-productif, et ceux qui gagnent 5 000 euros nets par mois en profiteront autant que ceux qui tirent le diable par la queue avec 1 400 euros nets par mois.
Ma conviction profonde, c’est que le RN ne fera pas en économie le tiers du quart de ce qu’il annonce, et ce sera une bonne chose. Ce sera pragmatique. Si Ensemble était par miracle aux affaires, ils ne feraient rien de plus si ce n’est continuer la même politique que celle menée depuis 7 ans.
Pas de souveraineté en étant endetté !


Les biens pensants seront choqués peut-être par cette affirmation, pourtant elle est de bon sens, que l’on soit de sensibilité de droite ou de gauche peu importe. C’est un fait. L’adage populaire dit que la main qui donne est toujours au-dessus de celle qui reçoit.
Si vous êtes endettés, alors vous dépendez de vos prêteurs. 
Si vous dépendez d’un prêteur, vous n’êtes plus indépendant.
Vous n’êtes plus souverain.
Simple.
Certes, l’Union Européenne ne nous aide pas, mais ce n’est pas l’UE qui nous a demandé de mal gérer nos comptes et nos finances publiques. Nous l’avons fait pendant 7 ans consciencieusement avec notre Mozart de la finance qui nous conduit dans le mur.
Pour retrouver de la souveraineté, le préalable n’est pas de sortir de l’euro et de l’Europe.
Soyons « cyniques « ou plutôt très pragmatique, soyons stratèges.
Un Frexit ou être en mesure de peser sur les décisions européennes, nécessitent une France forte et bien gérée, fière d’elle-même et de toute sa population.
Il faut donc d’abord redresser les comptes de la nation en profitant du bouclier de l’euro à courts termes pour préparer le plus long terme.
Simple.
Pragmatique.
Il faut cesser la démagogie dans ce pays. 
Cesser de faire croire que l’on peut réussir sans travailler.
Cesser de faire croire que l’on peut distribuer de l’argent magique.
Cesser de tout mettre sur le même pied d’égalité où tout se vaudrait.
Cesser de donner des diplômes à tous les gosses qui pensent que ce qu’ils font est « bien » alors que c’est « nul ».
Cesser de vomir sur la richesse, la réussite ou le succès pour au contraire le promouvoir avec toujours au cœur de cette promotion la recherche de l’excellence ! Vous voulez monter dans un avion fabriquer par un imbécile ? Construire des centrales nucléaires sans personne de qualifié ? Soyons sérieux. L’excellence doit être recherchée. La médiocrité combattue.
Pour ceux qui veulent aller plus loin, vous pouvez vous abonner à la Lettre STRATEGIES pour avoir accès à ce dossier spécial « 10 solutions pour se préparer aux conséquences de la dissolution » (tous les renseignements ici). Tout abonnement donne accès à l’ensemble des dossiers déjà édité et à toutes les archives.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT

https://insolentiae.com/leffroyable-demagogie-sur-le-pouvoir-dachat-des-partis-politiques-pour-la-campagne-ledito-de-charles-sannat/


2°/Immobilier. Le téléphone ne sonne plus depuis l’annonce de la dissolution !
par Charles Sannat | 25 Juin 2024 | Crise Economique


« Le téléphone sonne moins » : la dissolution freine la reprise de l’immobilier.
C’est valable actuellement dans tous les secteurs économiques, même si, ici le Figaro braque les projecteurs sur l’immobilier en particulier et c’est évidemment logique.
« L’éclaircie n’aura guère duré. Les ventes de logements, qui commençaient à reprendre du poil de la bête avec les beaux jours et la baisse du coût du crédit, connaissent à nouveau un coup d’arrêt. L’annonce choc de la dissolution de l’Assemblée nationale par le président de la République, le soir du résultat des européennes, a jeté un coup de froid immédiat sur le marché. « Le lendemain, j’avais un acheteur qui annulait son offre, se souvient Guillaume Audran, directeur d’une agence L’Adresse à Sète. Elle avait pourtant été acceptée par le vendeur trois jours plus tôt. » Un cas loin d’être isolé. « Le téléphone sonne un peu moins, confirme Valérie Boucharlat, directrice de l’agence Laforêt Croix-Rousse, à Lyon. Comme à chaque élection, c’est l’incertitude qui domine. » Cette fois-ci, sans doute davantage qu’à l’accoutumée. »
Comment vous projeter dans l’avenir avec de telles incertitudes ?
Acheter de l’immobilier, c’est à titre personnel, individuel prendre une décision d’investissement sur plusieurs années, parfois avec un crédit courant sur plusieurs décennies.
C’est la même chose pour les entreprises.
Et la comparaison est importante. Cela permet à chaque futur propriétaire pas forcément entrepreneur de se retrouver exactement dans la même situation qu’un patron devant investir.
Est-ce le moment ? Faut-il y aller ?
Pour cela il faut pouvoir se projeter dans l’avenir.
Sans projection possible pas de projet réalisé.
L’arrivée au pouvoir possible de LFI, le retour d’un ISF font fuir les investisseurs qui attendent de voir les évolutions de la fiscalité. Ceux qui pensent qu’il faudrait peut-être quitter le pays en fonction des peurs de chacun, vont également être attentistes.
Bref, la dissolution a plongé le pays dans un arrêt économique et d’investissement.
La seule bonne nouvelle, c’est qu’au moins, la campagne sera de courte durée et la période de blocage aussi… enfin, normalement ! Par la suite d’autres types de blocages peuvent se produire. .
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Charles SANNAT
Source Le Figaro.fr ici

https://insolentiae.com/immobilier-le-telephone-ne-sonne-plus-depuis-lannonce-de-la-dissolution/


3°/BNP Paribas n’est plus la première capitalisation bancaire en zone euro
par Charles Sannat | 25 Juin 2024 | Bourse et marchés financiers

BNP Paribas n’est plus la première capitalisation bancaire en zone euro titre le Figaro (source ici)
« La première banque française fait les frais des secousses sur les valeurs bancaires tricolores depuis l’annonce de la dissolution. Santander est devenue la première capitalisation boursière de la zone euro.
C’est l’une des conséquences de l’incertitude politique qui secoue le pays depuis le 9 juin. BNP Paribas vient de perdre son titre de première capitalisation boursière des banques de la zone euro. Elle est détrônée par l’espagnole Santander, désormais valorisée en Bourse 68,64 milliards d’euros, contre 67 milliards d’euros pour BNP Paribas. »
Les banques françaises attaquées.
« Depuis l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale, les banques Françaises sont attaquées en Bourse. BNP Paribas a ainsi perdu 10,6 % depuis le 10 juin, Société générale 15 % et Crédit agricole 11 %. Ces établissements sont les plus sensibles aux instabilités politiques, car ils sont le reflet de l’économie du pays. Aujourd’hui, les investisseurs craignent que les élections législatives débouchent sur une majorité pour le Rassemblement national (RN) ou le Nouveau Front populaire, dont les programmes économiques onéreux risquent de peser sur les finances publiques, ou encore sur une assemblée ingouvernable. »
Des investisseurs inquiets… pas franchement du RN !!
Il ne faut pas le dire trop fort, sinon on risque d’être taxé d’estrêêême droâtte, mais les marchés craignent comme le dit le Figaro que
« le taux de l’emprunt d’État Français, l’OAT, pourrait alors grimper, ce qui affecterait les coûts de financement des banques tricolores sur les marchés. « Les banques détiennent un montant important de dettes et elles seraient probablement celles qui souffriraient le plus de la hausse des coûts du crédit », avance Lilia Peytavin, stratège chez Goldman Sachs. Les investisseurs s’inquiètent également d’une possible mise en place d’impôts exceptionnels sur les bénéfices et de taxes ​​sur les dividendes. » »
Et qui c’est qui va faire monter les taux d’emprunt ? Le Front Populaire et son programme de dépenses dément qui nécessitera une pression fiscale démente, dans un pays où elle est déjà la plus élevée des pays dits développés.
Entre les lignes pour ceux qui veulent bien comprendre le RN ne fera pas grand chose sur le front économique, dans le sens où il ne prendra pas de risque, et le RN reste « capitaliste » là où LFI ou le NPA sont communistes, anticapitalistes et pour l’abolition de la propriété privée. Bref, c’est eux qui feront frémir les marchés qui n’ont jamais rien eu à craindre de la droite.
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https://insolentiae.com/bnp-paribas-nest-plus-la-premiere-capitalisation-bancaire-en-zone-euro/


4°/Angoissé ? Attentiste ? L’efficacité de l’action contre l’anxiété liée à la dissolution.
par Charles Sannat | 25 Juin 2024 | Chronique de l’effondrement

Voilà comment commence cet article de TF1 sur l’anxiété créée par le président Macron avec sa dissolution et intitulé « les Français de plus en plus anxieux » (source ici)
« Ce mois de juin aurait dû être un mois de célébration et de légèreté avec l’Euro de foot et les Jeux olympiques qui arrivent à grands pas. Or, le temps maussade, les températures fraiches et le contexte politique pèsent sur le moral des Français. D’ailleurs, les médecins et les psychologues notent une augmentation de l’anxiété chez les patients depuis l’annonce de la dissolution par le président de la République.
L’annonce brutale de la dissolution par le président de la République, le soir des élections législatives, a plongé les Français dans un état de stress permanent qui ne retombent pas avec les nombreux rebondissements au niveau des partis politiques. Certains patients ressentent de la crainte, de l’angoisse, de l’inquiétude au sujet de leur avenir, mais aussi de la nervosité et rencontrent des troubles du sommeil. La psychanalyste Ysabelle Delmas interrogée par France Bleu explique que « la durée et l’intensité de la période électorale, à force de solliciter les électeurs, peuvent déboucher sur une fatigue générale, jusqu’à l’épuisement psychologique, surtout s’ils s’impliquent. Avec un risque de surcharge mentale ».
Si l’anxiété atteint un paroxysme pour beaucoup de nos concitoyens ce n’est pas un hasard. J’ai écrit un article intitulé « Lorsque l’on a accumulé trop de mauvais choix, il n’y a plus aucune bonne solution et c’est ce que nous vivons ! »
Le pouvoir de l’action
L’anxiété ici provient d’une situation que l’on est condamné à subir, qui s’impose à nous.
C’est une situation où il n’y a plus aucun bon choix, aucune bonne solution et où nous savons, même sans avoir fait de grandes études, que de gros problèmes vont arriver et se poser à nous.
C’est un peu l’heure des comptes qui sonne et cela est porteur de grandes angoisses, de grandes peurs.
Il ne faut pas nier, surtout pas, cet aspect psychologique.
Pour lutter contre la peur, et donc contre l’anxiété, il n’y a pas de secret. Il faut se plonger dans l’action. Il faut se préparer, car, se mettre en action permet tout simplement de ne plus subir et de redevenir maître d’une partie de son destin et je peux vous assurer que cela change tout.
Discerner ce sur quoi vous pouvez agir.
N’oubliez jamais cette citation de l’un de mes philosophes préférés également empereur romain, Marc-Aurèle.
« Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l’être mais aussi la sagesse de distinguer l’un de l’autre. »
Ici et dans le cas qui nous occupe il nous faut tous faire preuve de discernement et distinguer les paramètres sur lesquels nous pouvons agir et ceux qui s’imposeront à nous.
C’est sur cette nécessité de l’action et de la préparation que s’ouvre ce dossier spécial sur les mesures que vous pouvez prendre pour vous préparer aux conséquences de la dissolution.
Les 10 solutions pour se préparer aux conséquences de la dissolution. 
Pour se préparer aux conséquences potentielles de la dissolution, il faut à la fois poser les différents scénarios, et aussi les différentes temporalités car il y a ce que l’on peut faire avant le 1er tour (ou engager avant le 1er tour), ce que l’on peut faire entre les deux tours en fonction des premiers résultats, puis ce que l’on pourra faire après le deuxième tour en fonction des résultats définitifs et de ce qu’ils impliqueront économiquement, socialement, politiquement et bien évidemment fiscalement !
La préparation nécessaire va s’articuler autour des 5 thématiques suivantes qui sont une « désensibilisation » au risque.
  1. Se désensibiliser de la monnaie (or, devise étrangères etc).
  2. Se désensibiliser de l’Union Européenne (actif en zone dollar, immobilier US, actions américaines etc).
  3. Se désensibiliser aux titres de dettes pour aller vers les titres de propriété.
  4. Se désensibiliser du système financier et bancaire européen (débancarisation, actifs tangibles etc).
  5. Se désensibiliser à la fiscalité qui va s’alourdir dans les mois qui viennent (pas de revenus = pas d’impôt).
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Charles SANNAT

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5°/Sujet de réflexion. Une inégalité est-elle une injustice ?
par Charles Sannat | 25 Juin 2024 | Réflexions personnelles


Voilà un superbe sujet de réflexion pour essayer d’avancer un peu dans notre compréhension des processus de création de richesses dans tous les sens du termes. La richesse n’est pas que financière. Elle peut-être architecturale, culturelle, artistique, agricole etc. Promenez-vous à Venise entre les palais et vous comprendrez la richesse architecturale par exemple.
Voici la définition de l’observatoire des inégalités.
Définir les inégalités est une opération complexe et un exercice rarement pratiqué, ce qui est assez étonnant vu l’ampleur du débat sur ce sujet. Le dictionnaire nous dit qu’ « une inégalité est ce qui n’est pas égal ».
Et qu’une égalité (aequalis en latin) est ce qui est uni, de même niveau. « Semblable en nature, en quantité, en qualité, en valeur », note le dictionnaire Larousse.
On reste sur sa faim.
À l’Observatoire des inégalités, nous proposons la définition suivante : on peut parler d’inégalités « quand une personne ou un groupe détient des ressources, exerce des pratiques ou a accès à des biens et services socialement hiérarchisés », sous-entendu « et qu’une partie des autres ne détient pas ».
Que voulons-nous dire par là ? Cette définition mérite quelques explications.
Voici la définition d’une injustice. « Qui n’est pas conforme à la justice, à l’équité ».
Nous voilà bien avancé.
Alors à vos commentaires sur les inégalités sont-elles des injustices?
Vous avez deux heures ou 5 minutes et je ramasse les copies !
Charles SANNAT

https://insolentiae.com/sujet-de-reflexion-une-inegalite-est-elle-une-injustice/?doing_wp_cron=1719384207.1961789131164550781250

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