
1°/« Logement social vers encore moins de mixité grâce à Kasbarian qui va virer ceux qui gagnent « trop » ».
2°/Macron.. Xi Jinping et Ursula von der Leyen. Premières déclarations.
3°/3/4 des start-up s’assoient sur le droit du travail… et elles n’ont pas forcément tort !
4°/Du vent ! Réduflation (ou « shrinkflation ») publication de l’arrêté ministériel
5°/Inflation plus forte et taux plus élevés plus longtemps… l’idée commence à faire son chemin.

1°/« Logement social vers encore moins de mixité grâce à Kasbarian qui va virer ceux qui gagnent « trop » ». L’édito de Charles SANNAT
par Charles Sannat | 7 Mai 2024 | A la une, Éducation

Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Mon titre est volontairement un poil provocateur.
En effet le ministre actuel du logement Guillaume Kasbarian explique que certains logements sociaux sont occupés par des personnes qui n’ont rien à y faire. Pour lui « le logement social à vie n’existe pas » et il veut désengorger la liste des deux millions de demandeurs qui sont en attente d’un logement au loyer modéré.
« Guillaume Kasbaria souhaite que les critères d’attribution ne tiennent pas seulement compte des revenus du foyer mais également du patrimoine. Le ministre a ainsi pris l’exemple de locataires qui disposent d’une maison de campagne ou d’un bien de famille. « C’est une mesure de bonne gestion, dans la mesure où deux tiers des Français sont éligibles au logement social » , assure le membre du gouvernement.
Le plafond des revenus éligibles pour obtenir un logement dans le parc social devrait rester le même. Mais ceux dont les revenus et le patrimoine dépassent un certain plafond pourraient voir leur bail résilié. Autre mesure, les surloyers pourraient se déclencher à partir du moment où le locataire dépasse le plafond de revenu et plus au-delà 20 % de ce plafond, comme c’est le cas actuellement, précise BFMTV . Après deux ans au-dessus du plafond, le bail pourra être résilié. Actuellement, 8 % des locataires de logements sociaux sont au-dessus des plafonds. En appliquant cette mesure, ce serait 400 000 logements qui seraient libérés. »
Virer ceux qui gagnent un peu plus c’est évidemment réduire la… mixité !
Et c’est là où justement je voulais en venir.
Dans notre pays nous bêlons sans cesse à l’égââââlitééé et la mixitééééé dont je considère toutes deux comme des âneries dans leur acceptation actuelle, mais c’est un autre débat.
Je voulais pointer du doigt le paradoxe politique et technique de la décision.
Vous ne pouvez pas virer les locataires qui gagnent un peu plus pour faire de la place à ceux qui sont le plus en difficulté et vouloir en même temps de la mixité.
Vous ne pourrez pas faire les deux.
Mon point de vue personnel, est qu’effectivement ceux qui gagnent le plus n’ont rien à faire dans les logements sociaux.
Cela implique que les logements sociaux vont concentrer les misères comme ils le font déjà en grande partie.
Cela veut donc dire que nous allons renforcer la « ghettoïsation » de ces « quartiers populaires » comme il faut le dire en novlangue politiquement correcte.
Pour autant, ce n’est pas parce que l’on est pauvre ou modeste que l’on doit mal se tenir!
Bien au contraire.
Si la gauche socialiste, permissive et qui excuse tout, explique la délinquance par la pauvreté, c’est à mon sens une insulte inadmissible à tous ceux qui modestes, pauvres, issus de l’immigration, des campagnes défavorisées et coupées de tout se comportent chaque jour avec dignité, supportant les difficultés avec force et surtout discrétion, sans rien demander.
Ces modestes silencieux sont l’immense majorité.
Rien ne justifie de mal se tenir.
Rien.
Il n’y a aucune excuse à trouver. Aucune excuse à chercher.
Et je pense qu’au fond de lui le ministre Kasbarian est conscient de l’amplification des « ghettos » qui sera la conséquence de cette politique.
Résultat ?
L’expulsion de familles de délinquants des HLM renforcée dans la future loi Logement ?
Le ministre du Logement, qui prépare une réforme sur les HLM, s’est dit favorable à évaluer les « incivilités, délits et crimes » des locataires de logements sociaux.
« L’ordre et l’autorité, ça vaut pour tout le monde »
« Mais ce n’est pas tout. Le ministre du Logement souhaite, par amendement, évaluer d’autres critères pour expulser des locataires de HLM : les « incivilités, délits et crimes ». « Il n’est pas normal que des personnes qui vivent dans le parc social, où la société met de l’argent, soient embêtées par certains qui ne respectent pas les lois et font de la délinquance », dénonce Guillaume Kasbarian ce dimanche sur France Inter qui estime « légitime » qu’« on évalue aussi si (les locataires de HLM) sont respectueux des règles de la République et de la copropriété.» Le ministre s’appuie sur la loi qui régit les copropriétés : elle prévoit que chaque occupant d’une copropriété certes « use et jouit librement des parties privatives et des parties communes » mais « sous la condition de ne (pas) porter atteinte aux droits des autres copropriétaires » (article 9 de la loi du 10 juillet 1965).
Déplorant que les bailleurs sociaux agissent « avec un certain délai et parfois avec quelques difficultés », le ministre souhaite « aller plus loin » sur le sujet. « L’ordre et l’autorité, ça vaut pour tout le monde », prévient le ministre. Actuellement, plusieurs villes ont déjà pris des dispositions pour expulser les familles de délinquants dans les HLM. C’est le cas de Nice depuis 2021. Le parquet, la police nationale et municipale et le principal bailleur social de la ville ont signé une convention pour « renforcer la sécurité et la tranquillité des résidents du parc de logements sociaux ». C’est ainsi qu’à Nice, une mère a été expulsée de son HLM après la condamnation de son fils pour trafic de stupéfiants aux alentours de leur immeuble. »
Bénéficier d’un HLM payé par la collectivité est un privilège. Pas un droit sans devoir !
Voilà encore du bon sens à remettre dans notre pays.
Être logé par la collectivité impose à minima de bien se tenir.
Le droit opposable au logement trouve sa limite forcément à partir du moment où vous vous tenez mal et où vous nuisez au reste de la collectivité.
C’est exactement la définition de la liberté.
La liberté est totale et s’arrête là où commence celle des autres !
Bref.
Là encore du bon sens.
Il faut donc aller plus loin et expliquer que le droit opposable au logement qui est une nécessité sociale et humaniste à laquelle j’adhère sans réserve s’accompagne de deux éléments complémentaires.
La société doit vous loger là où elle le peut, pas là où le demandeur le souhaite. Je peux vous dire qu’il existe plein d’endroits en France où des logements sociaux existent et où il serait moins coûteux d’en construire ou d’en rénover rapidement et facilement. Transformer des immeubles superbes en HLM en plein centre ville est une ineptie économique et aussi sociale (y faire les courses y coûte trop cher par exemple).
La société doit vous loger, mais à la condition obligatoire que vous vous teniez convenablement. L’expulsion de ceux qui se tiennent mal, dans le logement public comme privé doit être immédiate et systématique.
Les choses se passent mal, uniquement parce que nous laissons les choses mal se passer.
Les gens sont des agent rationnels. Édictez des règles simples et claires. Des sanctions fortes et claires.
Une fois que 1000 familles auront été mises à la rue, les autres se tiendront à carreaux de peur de s’y retrouver aussi.
Le « vivre-ensemble » ce n’est pas seulement une incantation socialiste. Pour que cette idée redevienne réalité, il faut une vision du couple droits-devoirs reposant sur un socle de sanctions qui ne passe pas forcément par la case prison ! La perte du logement HLM est une sanction très forte et croyez-moi, très dissuasive.
Ce pays peut être redressé en quelques mois seulement avec du bon sens, du travail, et un partage juste en fonction des efforts et du mérite. Toute politique doit assurer la paix et remplir les gamelles, mais il est normal de cesser de nourrir ceux qui vous lancent à la figure la gamelle que vous venez de leur remplir en vidant un peu la vôtre.
Cela suffit !
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT

2°/Macron.. Xi Jinping et Ursula von der Leyen. Premières déclarations.
par Charles Sannat | 7 Mai 2024 | Géopolitique,

Les déclarations de Macron et de Xi Jinping sont très convenues.
Celles d’Ursula von der Leyen nettement moins, elles sont mêmes beaucoup plus dures. Que ce soit sur le commerce ou sur la guerre en Ukraine, le contraste avec les déclarations mièvres du président français sont assez saisissantes.
Conclusion ?
C’est une répartition des rôles de type « gentil flic/méchant flic » entre la présidente de la commission européenne et le président français.
Pas certain que le sommet se passe très bien.
Vous remarquerez aussi au passage le changement de sémantique.
Von der Leyen ne parle plus de nouvel ordre mondial mais de « l’ordre international »… (6 minutes environ sur l’enregistrement).
Charles SANNAT
https://insolentiae.com/macron-xi-jinping-et-ursula-von-der-leyen-premieres-declarations/

3°/3/4 des start-up s’assoient sur le droit du travail… et elles n’ont pas forcément tort !
par Charles Sannat | 7 Mai 2024 | Emploi & Chômage

« Les start-up se font épingler sur les réseaux sociaux pour leurs pratiques managériales. » selon cet article du Figaro.
Pour avoir démarrer ma carrière il y a fort longtemps, dans les start-up d’autrefois et de jadis, la culture du travail n’y a pas changé.
« Semaine de quatre jours, vacances illimitées, transparence, hyperflexibilité… Les jeunes pousses aiment se démarquer en adoptant des pratiques RH innovantes. Mais, pour les salariés, ce n’est pas toujours le bonheur assuré. Certains dénoncent les humiliations, les horaires sans fin et les licenciements abusifs.
Sur le compte Instagram Balance ta start-up, dédié à «la libération de la parole dans l’écosystème des start-up», les langues, en effet, se délient. Les anciens salariés racontent les horaires à rallonge, les burn-out en série, les fautes graves ou les insuffisances professionnelles inventées pour licencier sans bourse délier, mais aussi les violences verbales, le turnover accéléré, le sentiment d’être un salarié Kleenex, vite jeté…
Les témoignages, sérieux et étayés, citant des start-up connues, ne sont pas très éloignés de l’univers décrit par le réalisateur Bruno Podalydès, dans sa comédie, Les 2 Alfred. En moins drôle, on y retrouve les patrons gourous, le culte de la parole crue, l’exigence d’engagement total pour l’entreprise, avec son corollaire, les rituels imposés même en dehors du travail. »
Ce qui est décrit dans cet article est totalement vrai.
Il y a d’évidents excès.
Ces excès sont la conséquence d’une culture du résultat, de la rapidité et de la flexibilité.
L’hypocrisie de tout un système !
« Les start-up n’ont certes pas l’exclusivité des mauvaises pratiques managériales. Elles ne sont pas les seules à enfreindre le droit du travail ou à mettre sous pression leurs collaborateurs dans l’espoir de maximiser les résultats. Mais l’image qu’elles renvoient, à travers ces témoignages, contraste singulièrement avec celle de convivialité, d’ouverture, de liberté et d’innovations managériales revendiquées par de nombreuses jeunes pousses. Et qu’elles mettent en avant pour recruter. »
Les gens découvrent, et notamment les jeunes, que ce n’est pas parce que l’on est en jean et baskets, que l’on peut jouer au babyfoot le midi avec son « boss » qui va vous tutoyer que l’ambiance est bonne et que surtout, on peut travailler sereinement !
La réalité c’est que quand on doit nommer la chose c’est qu’en général cette chose a disparu.
Par exemple souvenez-vous des républiques démocratiques dans l’ex-URSS. Toutes les républiques démocratiques avaient des goulags et des polices politiques. Les Etats-Unis ou l’Angleterre ou même la France ne s’appelait pas république démocratique américaine ou française ou anglaise.
Quand une entreprise doit avoir un CHO, pour chief hapiness officer, qui peut se traduire par directeur du bonheur, on a un gros problème de relation de travail.
La culture de la « coolitude » est en réalité un immense mensonge social.
Je préfère travailler avec une cravate, ne pas jouer au babyfoot, que mon patron m’appelle Monsieur et moi de même et que nous gardions des relations respectueuses et le vouvoiement. La fausse proximité, la fausse complicité conduisent justement aux dérives.
Pour autant, il ne faut pas croire que l’on monte des entreprises et que l’on gagne de l’argent, des parts de marchés et que l’on peut imposer un nouveau concept sans beaucoup de travail et sans une volonté acharnée.
Les start-up sont dirigées par définition par des entrepreneurs/fondateurs qui misent tout dessus avec un engagement qui n’est pas compatible ou rarement avec l’approche salarié aux 35 heures avec RTT…
Pourtant les start-up ont raison.
Une PME a besoin de beaucoup plus de flexibilité et d’engagement que les très grands groupes qui bénéficient de situation de rente et d’une inertie qui les protègent. Elles ont en plus des moyens très importants. Ce n’est pas le cas des start-up, toujours sur le fil, fragiles.
Si l’on applique le vrai droit du travail en France dans le monde des start-up, alors, elles disparaîtront toutes.
Tout simplement.
C’est cela qu’il faut comprendre quand 3/4 disent qu’elles n’appliquent pas la législation sur le travail.
En réalité, elles ne le peuvent pas.
Charles SANNAT
Source Le Figaro.fr ici

4°/Du vent ! Réduflation (ou « shrinkflation ») publication de l’arrêté ministériel
par Charles Sannat | 7 Mai 2024 | Monnaie et Inflation
Source Ministère de l’économie ici. C’est encore du vent.
Vous trouverez ci-dessous le décret sur la réduflation, le mot français pour la shrinkflation.
Les distributeurs devront signaler les produits concernés, sans préciser véritablement comment ils devront le faire.
Je vous donne volontairement un exemple outrancier pour vous montrer pourquoi cela est sans doute du vent.
Imaginez que vous mettiez une étiquette portant la mention suivante : « ici le fournisseur vous couillonne en réduisant les quantités de 30% et en maintenant les prix soit une augmentation de 30% du prix de votre produit », évidemment ce n’est pas très vendeur.
Mais vous pouvez aussi signaler la réduction des quantités avec le message suivant: « votre fabricant s’adapte à la hausse des prix et pour vous en offrir toujours plus nous avons revu les quantités »… Avouez que c’est moins effrayant !
Je peux même imaginer une étiquette du genre « la quantité baisse pour protéger l’environnement et réduire les pertes, nous avons calculé nos quantités pour une famille de 4 personnes » !
Attendons de voir comment cette mesure, qui arrive déjà presque trop tard, sera mise en place, mais il est fort probable que cela reste essentiellement cosmétique et nous assistons à de belles inventions sémantiques et marketing. Je compte sur votre sagacité et vos observations ainsi que vos smartphones pour me faire quelques belles photos des perles que vous trouverez !
Réduflation (ou « shrinkflation ») : publication de l’arrêté ministériel réglementant l’information des consommateurs sur l’augmentation des prix des produits dont la quantité a diminué
Par arrêté du 16 avril 2024 qui sera publié dans les prochains jours au Journal officiel, Bruno Le Maire – ministre de l’Economie.. des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, et Olivia Grégoire – ministre déléguée chargée des Entreprises.. du Tourisme et de la Consommation, ont décidé de rendre obligatoire l’information des consommateurs relative à l’évolution à la hausse des prix des produits ayant subi une baisse de quantité. Cette disposition entrera en vigueur le 1er juillet 2024.
Bien qu’autorisées, les pratiques commerciales ayant pour effet, de différentes manières, de masquer la diminution de quantité (poids ou volume) de certains produits, alors qu’en parallèle leurs prix étaient maintenus voire augmentés, ont fait l’objet de vives critiques. En effet, l’augmentation du prix rapporté à la quantité peut alors être difficilement perceptible par le consommateur au moment de son achat.
Aussi, l’arrêté du 16 avril 2024 prévoit, à compter du 1er juillet 2024, pour les produits de grande consommation qui ont subi une modification de poids ou de volume à la baisse entrainant une hausse de prix à l’unité de mesure une obligation spécifique d’information des consommateurs, portant sur ces évolutions.
Cette information devra être apportée par les distributeurs dans les grandes et moyennes surfaces, à proximité immédiate des produits concernés. Elle devra figurer dans ces magasins physiques durant les deux mois qui suivent la date de commercialisation des produits industriels alimentaires et non alimentaires concernés (bouteilles de soda, paquets de riz, lessive ou boîtes de conserve, par exemple), et ce, qu’il s’agisse de produits de marque nationale ou de marque de distributeur. Ne sont pas concernées par ces dispositions les denrées alimentaires préemballées dont la quantité peut varier à la préparation (rayon traiteur par exemple) et les denrées alimentaires vendues en vrac.
Les consommateurs ayant des doutes quant au prix à l’unité de mesure affiché en rayon sont également invités à le signaler via l’application ou le site internet SignalConso.
Selon Bruno Le Maire : « La pratique de la shrinkflation est une arnaque ! Nous y mettons fin. Je veux rétablir la confiance des consommateurs. Et la confiance vient avec la transparence. Dès le 1er juillet, il sera obligatoire d’indiquer lorsqu’un produit alimentaire change de taille. L’indication devra en particulier préciser l’évolution du prix rapporté au poids, afin que le consommateur connaisse la vraie évolution du prix. Nous nous y étions engagé, nous le faisons. »
Pour Olivia Grégoire : « Quand shrinkflation rime avec manque d’information, les consommateurs en sont les premières victimes. A compter du 1er juillet, une affichette sera apposée à proximité du produit lorsque sa quantité diminue et que son prix reste inchangé ou augmente. C’est un pas important dans le combat que je mène pour la transparence qu’on doit aux consommateurs. »
Charles SANNAT
https://insolentiae.com/du-vent-reduflation-ou-shrinkflation-publication-de-larrete-ministeriel/

5°/Inflation plus forte et taux plus élevés plus longtemps… l’idée commence à faire son chemin.
par Charles Sannat | 7 Mai 2024 | Monnaie et Inflation
Ils comprennent vite à condition qu’on leur explique longtemps !
C’est exactement ce qu’il se passe sur le marché où les analystes commencent timidement à évoquer l’idée que l’inflation ne reviendra pas comme par magie sous les 3%.
Ici, l’analyse de Bastien Drut, responsable des études et de la stratégie chez CPRAM, commence à parler sur la pointe des pieds d’une inflation qui serait supérieur à 2% sans oser parler de taux de 3 ou 4% d’inflation rendant illusoire le fait de croire que nous allons prochainement retrouver des taux d’intérêt proche de 0%…
Le problème qui va se poser assez rapidement est celui du choix entre une inflation élevée et un coût de la dette intenable si les taux restent à plus de 5% aux Etats-Unis et à plus de 4% en Europe.
C’est à partir de la 6ème minutes de cette vidéo.voir sur https://insolentiae.com/inflation-plus-forte-et-taux-plus-eleves-plus-longtemps-lidee-commence-a-faire-son-chemin/
Charles SANNAT
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