1°/« De nouvelles banques régionales américaines en difficulté ? (encore…) ».
2°/Écologie. 60 tonnes de livres neufs à la poubelle suite à la faillite d’une librairie
3°/Que les guerrières Ukrainiennes sont belles quand elles ne sont pas encore mortes.
4°/L’Europe passe en économie de guerre selon le camarade commissaire Breton
5°/La génération née entre 1980 et 2000 va devenir « la plus riche de l’histoire ».

1°/« De nouvelles banques régionales américaines en difficulté ? (encore…) ». L’édito de Charles SANNAT
par Charles Sannat | 5 Mar 2024 | A la une, Bourse et marchés financiers
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Le dossier Stratégies du mois de Février 2024 intitulé « Et si l’erreur d’analyse était de croire que la guerre est impossible » est disponible en téléchargement dans vos espaces lecteurs ici. Pour ceux qui veulent s’abonner et pouvoir le télécharger immédiatement c’est ici.
La banque régionale américaine, New York Community Bank, spécialisée dans les prêts immobiliers, est dans une mauvaise passe après avoir reconnu des défaillances dans ses procédures de contrôle interne.
Est-ce un cas isolé, ou ce problème peut-il contaminer l’ensemble du système bancaire ? C’était le sujet de l’émission d’hier sur Ecorama avec David Jacquot.
Faut-il s’inquiéter d’une nouvelle crise bancaire ?
A court terme sans doute pas.
Pourquoi ?
Parce que la crise liée à la SVB était causée par des éléments systémiques. Toutes les banques ont obligation d’investir leurs fonds propres dans des obligations d’Etat qui, en raison de la hausse des taux, venaient de perdre 30 à 60 % ! Les fonds propres de toutes les banques étaient concernés. Logiquement les banques centrales sont intervenues très rapidement en disant qu’elles reprenaient toutes ces obligations en pertes non pas à la valeur du marché mais à la valeur initiale (donc sans perte) et qu’elles garantissaient les dépôts sans limitation de montant aux Etats-Unis. Fin de la crise et du stress bancaire.
Aujourd’hui, nous sommes confrontés à une crise qui est liée à ce que l’on appelle l’augmentation du coût du risque. Expression pompeuse pour parler des impayés de remboursements de crédits qui ne sont plus remboursés par des clients défaillants. Il faut donc que le client soit défaillant. Ensuite il faut que l’hypothèque détenue du coup en garantie par la banque soit exercée et la perte constatée. Bref, il y a ici, malgré une crise immobilière mondiale réelle, beaucoup de latence. Pour la New York Community Bank, nous ne sommes pas dans le risque systémique pour deux raisons.
La première, la baisse du marché immobilier affecte les banques de manière très différente en fonction des expositions et cela passe par la gestion des provisions au niveau des chaque banque.
La seconde c’est que la New York Community Bank a mal géré justement ses provisions et là nous ne sommes pas dans du systémique mais dans une mauvaise gestion individuelle, d’une banque dont la taille reste modeste et dont les actifs, dans le pire des cas seront repris par d’autres.
Pour le moment il n’y a donc objectivement pas, à ce stade de quoi trembler. En réalité le risque réel du moment n’est pas dans les banques.
Il se situe au niveau des risques de guerre.
Et je vous propose de réfléchir à la question suivante.
Dans quelle mesure les conséquences de certaines actions publiques en cas de guerre réelle avec la Russie, ou en cas de craintes de guerre avec la Russie seront véritablement différentes ?
Je vous laisse réfléchir à la portée de cette question qui peut sembler simple et anodine.
La réponse à cette question est sans doute la plus importante pour vos patrimoines, bien plus que l’avenir d’une petite banque régionale américaine.
C’est incroyable comme les choses et les risques peuvent si vite changer.
Pour ceux qui veulent la réponse, elle est dans le dossier Stratégies du mois intitulé « Et si l’erreur d’analyse c’était de croire la guerre impossible ». Qu’il y ait la guerre ou pas, nous avons déjà tous perdu et je vous explique pourquoi (pour ceux qui veulent s’abonner c’es ici)
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT

2°/Écologie. 60 tonnes de livres neufs à la poubelle suite à la faillite d’une librairie
par Charles Sannat | 5 Mar 2024 | Chronique de l’effondrement
« La grande librairie de Sydney Laurent » a fermé ses portes en 2023. Le propriétaire des lieux a décidé de se débarrasser de tous les livres restés sur place pour louer son local commercial.
Un immense gâchis. Depuis le mercredi 21 février, des milliers et des milliers de livres sont envoyés à la benne après la faillite de « La grande librairie de Sydney Laurent » à Saint-Laurent-du-Var, dans les Alpes-Maritimes, rapportent nos confrères de France 3 relayés par le HuffPost.
L’établissement a fait faillite il y a un an et a été placé en liquidation judiciaire. Les gérants ont mis la clé sous la porte, mais n’ont pas débarrassé l’espace.
Le nouveau propriétaire des lieux, Paul Teboul, n’a pu louer son local commercial depuis, les milliers de livres occupant toujours l’espace de 1.300 mètres carrés, explique France 3. Un manque à gagner de 200.000 euros.
Une solution radicale a été trouvée « à contrecœur »: mettre des bennes à proximité afin de vider la librairie le plus rapidement possible pour laisser la place aux nouveaux locataires.
Selon France 3, ce sont les livres de plus de 8.000 auteurs qui ont terminé à la poubelle.
Cela en dit long sur la place du livre.
Cela en dit long sur l’effondrement culturel que nous vivons dans notre pays.
Nous jetons 60 tonnes de livres.
Nous demandons à Aya Nakamura de chanter du Piaf, elle, dont les paroles de chansons, effectivement ne sortent pas d’un livre.
Aya Nakamura, oh yeah
Hello papi, mais qué pasa ? (Mais qué pasa ?)
J’entends des bails atroces sur moi
À c’qu’il paraît, j’te cours après? (Oh yeah, yeah, yeah)
Mais ça va pas ? mais t’es taré, oh ouais
Mais comment ça, le monde est tit-pe ? (Eh)
Tu croyais quoi, qu’on s’verrait plus jamais ?
J’pourrais t’afficher mais c’est pas mon délire
D’après les rumeurs, tu m’as eue dans ton lit
Oh, Djadja
Y a pas moyen, Djadja
J’suis pas ta catin, Djadja, genre, en catchana baby, tu dead ça
Oh, Djadja
Y a pas moyen, Djadja
J’suis pas ta catin, Djadja, genre, en catchana baby, tu dead ça
Tu penses à moi, j’pense à faire de l’argent
J’suis pas ta daronne, j’te ferai pas la morale
Tu parles sur moi, y a R
Crache encore, y a R
Tu voulais m’avoir, tu savais pas comment faire
Tu jouais un rôle, tu finiras aux enfers
« T’façon, Nakamura, je l’ai couchée »
Le jour où on se croise, faut pas tchouffer
Tu jouais le grand frère pour me salir
Tu cherches des problèmes sans faire exprès
Putain, mais tu déconnes
C’est pas comme ça qu’on fait les choses
Putain, mais tu déconnes
C’est pas comme ça qu’on fait les choses
Putain, mais tu déconnes
C’est pas comme ça qu’on fait les choses
Oh, Djadja
Y a pas moyen, Djadja
J’suis pas ta catin, Djadja, genre, en catchana baby, tu dead ça
Oh, Djadja
Y a pas moyen, Djadja
J’suis pas ta catin, Djadja, genre, en catchana baby, tu dead ça
Oh, Djadja
Y a pas moyen, Djadja
J’suis pas ta catin, Djadja, genre, en catchana baby, tu dead ça
Oh, Djadja
Y a pas moyen, Djadja
J’suis pas ta catin, Djadja, genre, en catchana baby, tu dead ça
Oh, Djadja, j’suis pas ta catin, Djadja, non
Y a pas moyen, Djadja, ouais, en catchana baby, tu dead ça, yeah
Oh, Djadja, j’suis pas ta catin, Djadja, non
Y a pas moyen, Djadja, ouais, en catchana baby, tu dead ça, d’après toi
En catchana, baby tu dead ça, en catchana, baby
En catchana, baby tu dead ça, en catchana, baby
Oh, Djadja
Oh, Djadja
Oh, Djadja
Au point où nous en sommes, nous pourrions même brûler les livres. Après tout, dans les chauffages collectifs ce serait sans doute écologique.
Charles SANNAT

3°/Que les guerrières Ukrainiennes sont belles quand elles ne sont pas encore mortes.
par Charles Sannat | 5 Mar 2024 | Guerre |
C’est une « une » de Vogue, l’édition ukrainienne pour être exacte qui circule beaucoup actuellement sur les réseaux sociaux.
Tout d’abord il s’agit de l’édition ukrainienne, ce n’est pas la même chose en France ou aux Etats-Unis chaque « une » étant différente.
Il n’en reste pas moins que là cela donne presque envie d’enfiler le treillis et d’aller faire la guerre. C’est cela la propagande de guerre, et elle commence à déferler à pleins tubes sur vos écrans télés. Bien vendu, vous verrez que rapidement, en quelques semaines (12) vous aurez une majorité d’imbéciles pour « soutenir » la guerre dans la sondage « opinionway pour BFM ».
C’est toujours la même méthode qui est utilisée pour fabriquer le consentement comme l’expliquait si bien Noam Chomsky.
La réalité c’est qu’après la belle photo, les cimetières se remplissent trop rapidement de jeunes hommes et désormais de jeunes femmes, parité dans la chair à canon oblige. Ici un cimetière ukrainien.
Mais soyons justes et ne prenons pas le risque de relayer une propagande plutôt qu’une autre.
Ci-dessous les cimetières russes se remplissent également.
Dans les deux cas, le sang de tous est rouge. Dans les deux cas, les larmes des mamans perdant leurs enfants ne cesseront plus jamais de couler.
Que veut-on ?
Toujours plus de morts ?
Nous voulons faire pleurer toutes les mères d’Europe ?
La guerre n’est pas belle, elle est toujours effroyable.
En plus, la guerre coûte chère et n’a aucun intérêt économique à part pour les vendeurs de canons et d’obus
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT

4°/L’Europe passe en économie de guerre selon le camarade commissaire Breton
par Charles Sannat | 5 Mar 2024 | Education
Comprenez moi bien. Je suis profondément pacifique et pour la paix. J’estime que l’emploi de la force est un « ultima ratio », le recours ultime. Mieux vaut de mauvaise paix que de bonnes guerres. Je pense que les intérêts vitaux de la France ne sont pas engagés en Ukraine, que Poutine n’arrive pas à envahir ce pays malgré des milliers de morts, alors la probabilité qu’il aille plus loin est proche de 0. Voilà la réalité de mon analyse.
Je pense que nous n’avons rien à faire en Ukraine et que l’Ukraine doit rester dans la zone d’influence russe.
Sauf que l’Europe se rêve en empire et en Etats-Unis d’Europe et que l’histoire nous enseigne que bien souvent pour ne pas dire tout le temps, les « nations », naissent de la guerre et sont enfantées par des massacres. Les Etats-Unis d’Europe ont besoin pour exister d’une menace commune voire même d’une guerre si nécessaire pour réussir ensemble quelque chose que l’on ne pourrait pas faire seul, pour mutualiser tout ce qui peut l’être des impôts aux dettes. La guerre contre la Russie est idéale pour faire avancer le fédéralisme européen.
Voilà ce que je pense.
Je pense aussi, que faire la guerre, n’est pas une simple figure de style.
Si le camarade commissaire Breton veut faire la guerre, alors il faut des mecs pour la faire, pas des couineurs qui veulent leur RSA, leur dose de « shit » récréatif hebdomadaire et qui revendique de pouvoir être xénogenre c’est-à-dire de se sentir par exemple licorne à crête rose (ou bleue on s’en fiche).
Si le camarade commissaire Breton veut passer en économie de guerre, alors il faut construire des usines nécessitant de l’énergie, et pas des éoliennes mais des grosses centrales nucléaires, il faut des cheminées qui fument et qui polluent en faisant plein de CO2 parce que la guerre c’est dégueulasse et c’est pas écolo. Il faut prendre sur les terres « agricoles » et s’asseoir sur la ZAN, la zéro artificialisation nette.
Il faut forcer les gosses à refaire du sport et les sortir du canapé en interdisant Tik-Tok et les écrans.
Bref, vous voulez faire la guerre camarade commissaire Breton ?
Aucun problème.
Je vais vous dire comment la faire. Parce que je suis profondément pacifique camarade commissaire. Mais si je dois faire la guerre pour protéger les intérêts supérieurs de la France, nos intérêts vitaux (ce qui n’est pas le cas avec l’Ukraine) alors je le ferais totalement, complètement, intégralement.
Quand on fait la guerre, on ne la fait pas « un peu » avec des motions de « synthèse », du politiquement correct et des couineurs.
La guerre c’est dégueulasse, c’est une simplification très rapide d’une société complexe.
L’économie de guerre c’est s’asseoir sur les 40 dernières années de mollesse culturelle érigée en « exemple ».
Alors je vais vous dire camarade commissaire.
Dans une société qui m’explique qu’il ne faut pas mettre une fessée à un gosse, vous êtes sûr de perdre toutes les guerres que vous entreprendrez.
C’est aussi simple que cela.
Gagner une guerre c’est produire des obus et des armes, mais ce n’est là que des moyens.
Gagner une guerre camarade commissaire, c’est un état d’esprit. Une nécessité de sacrifice pour un objectif qui transcende ceux qui vont se faire trouer la peau.
Une société qui refuse une claque au cul à ses gosses, ne produit certainement pas des soldats.
En Russie, vous pouvez claquer votre sale gosse pour qu’il ne devienne pas une larve dans le canapé frottant son écran pour « swiper » sur Tik-Tok en regardant yayakamura (je me fiche de aya nakaoumoura malgré sa popularité, condamnée pour violences en 2022) ou je ne sais qu’elle autre influenceuse débile, illettrée et articulant des onomatopées en s’exprimant avec des hiéroglyphes appelés « émoticones ». Au passage, pour écouter ce qui ressemble le plus à Edith Piaf, chanté par une femme issue de la « diversité » (pour cocher les cases politiquement correcte de rigueur) vous avez Barbara Pravi née de parents français d’origine serbe et iranienne (ce dont je me fiche totalement quand j’écoute ses chansons et le reste du temps aussi), mais je le fais exprès pour montrer au camarade commissaire qu’on ne gagne pas une guerre en passant du temps sur des âneries idéologiques.
Réveillez vous camarade commissaire politique.
Si vous me demandez de mener une guerre, je la mène pour la gagner.
Nous n’avons pas qu’un problème d’obus.
C’est tout le reste qui pose problème camarade commissaire.
On ne gagne pas une guerre avec des bataillons de xénogenres à crêtes bleues ou avec des régiments de LGBT mais avec les « poilus » de 14/18. Et dites-moi gros malin, pourquoi qu’on les appelait les poilus en 14 ? Hein ? Pourquoi on les appelait pas les licornes à crêtes bleues dans les tranchées de Verdun ? Hein ? Gros malin ? Et ne venez pas me dire que je suis contre les LGBT et les xénogenres… je m’en fiche totalement, chacun faisant ce qu’il souhaite et cherchant le bonheur comme nous le pouvons, vous n’aurez chez moi aucun rejet de personne… mais juste de la cohérence et du pragmatisme.
Gagner une guerre nécessite un état d’esprit… guerrier. Sinon, on ne fait pas la guerre (ce qui me va très bien et ce qui a très nettement ma préférence).
Allez, il faut que je vous laisse, il faut que je fasse le tri de mes poubelles jaune, marron, verte et noire, et que j’apporte mon petit seau de compost dans la colonne à compost collective. Tu comprendras peut-être que ta guerre attendra et que surtout… tu la perdras.
C’est pas une question d’obus. C’est une question d’état d’esprit général…
Mais quand on n’a pas d’obus et qu’on est obtu… ça donne ça…
A propos de compost, je précise quand même, qu’en cas de guerre, ce n’est pas les rations de combat qui sont compostées ou recyclées.
Non.
C’est vos gosses, vos fils qui seront compostés dans des fosses communes.
N’oubliez jamais cela avant de parler de guerre.
C’est pas vos épluchures qui seront compostées.
C’est vos gosses, vos fils qui seront compostés dans des fosses communes.
Charles SANNAT
https://insolentiae.com/leurope-passe-en-economie-de-guerre-selon-le-camarade-commissaire-breton/

5°/La génération née entre 1980 et 2000 va devenir « la plus riche de l’histoire ».
par Charles Sannat | 5 Mar 2024 | Investir son argent
Bonne nouvelle pour les « jeunes » vieux, qui vont devenir rapidement les vieux de demain vu que les vieux d’aujourd’hui sont en train de rejoindre leur dernière demeure, car on parle bien ici d’héritage.
Et côté héritage, a priori c’est considérable. Le magot est énorme.
« Rien qu’aux États-Unis, les millennials vont progressivement hériter de 90.000 milliards de dollars d’actifs de la part de leurs aînés au cours des 10 prochaines années, selon une étude de Knight Frank.
Vous êtes nés entre 1980 et 2000 ? Alors vous allez potentiellement devenir très riches. Un extrait de l’étude du cabinet Knight Frank, repérée par Le Figaro, montre que la génération dite des « millennials » (appelée aussi génération Y) devrait en effet devenir « la plus riche de l’histoire ». Et ce… grâce notamment aux baby-boomers.
Il s’agit d’une note extraite d’une étude du cabinet Knight Frank qui sera publiée dans son intégralité le 6 mars prochain. Celle-ci explique qu’au cours de la prochaine décennie, un transfert massif de richesses se produira au fur et à mesure que la génération silencieuse (les personnes nées de 1920 à 1940) et les baby-boomers (ceux nés de 1945 à 1960) passeront le relais aux millennials. »
Bon soyons sérieux.
Tout d’abord, encore faut-il avoir quelque chose à hériter et en cette matière, les montants sont objectivement assez mal répartis ce qui est logique puisque certains savent capter de la valeur et la conserver, et l’immense majorité n’y arrive pas (pour de multiples raisons allant du manque de connaissances, au manque de travail, en passant par le manque d’économie et de sacrifice… ou aussi disons-le de chance ou en raison d’aléas divers et variés liés à la vie).
Ensuite, l’essentiel de cette valeur d’actif est basée d’abord sur l’immobilier (surtout en France, un peu moins aux Etats-Unis) et sur la valeur des cours de bourse. Un bon krach financier et un bon krach immobilier seraient largement capable de faire fondre cette « fortune » en quelques jours dans des proportions bibliques.
La leçon est toujours la même.
Il faut travailler, mettre de côté, investir et déclencher « l’effet cumulé » nécessite beaucoup de temps, des années mêmes. La richesse met du temps à se créer, raison pour laquelle les « vieux » sont toujours plus riches que les jeunes.
Enfin, il ne faut pas oublier que si, « bien mal acquis ne profite jamais », acquis sans effort n’a aucune saveur.
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur http://www.insolentiae.com. »
Source BFM TV ici
https://insolentiae.com/la-generation-nee-entre-1980-et-2000-va-devenir-la-plus-riche-de-lhistoire/






