1°/« La trêve de 4 jours. 1er espoir depuis le début de la guerre ».
2°/Naarea, l’avenir du nucléaire, pour les industries alimentées par les déchets radioactifs !
3°/Vendre pour survivre. Les derniers instants de l’empire de Drahi qui vend pour 500 millions d’euros avec une dette de 60 milliards
4°/Christine Lagarde – « Le voyage n’est pas terminé contre l’inflation »
5°/Accablant. L’Etat est responsable à 100 % de la crise de l’immobilier et du logement.
1°/« La trêve de 4 jours. 1er espoir depuis le début de la guerre ». L’édito de Charles SANNAT
par Charles Sannat | 23 Nov 2023 | A la une, Guerre
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
D’après cette dépêche Reuters voilà ce que nous savons au moment où j’écris ces lignes. (source ici)
« Israël et le Hamas ont convenu mercredi d’un cessez-le-feu à Gaza pendant au moins quatre jours, pour laisser entrer l’aide et libérer au moins 50 otages détenus par des militants dans l’enclave palestinienne en échange d’au moins 150 Palestiniens emprisonnés en Israël.
La première trêve d’une guerre brutale de près de sept semaines, conclue après la médiation du Qatar, a été saluée dans le monde entier comme un signe de progrès susceptible d’atténuer les souffrances des civils dans la bande de Gaza assiégée par Israël et de ramener davantage de captifs israéliens chez eux.
Israël a déclaré que le cessez-le-feu pourrait être prolongé si davantage d’otages étaient libérés, et une source palestinienne a déclaré que jusqu’à 100 otages au total pourraient être libérés d’ici la fin du mois.
Le Hamas et ses groupes alliés ont capturé environ 240 otages lorsque des islamistes armés ont saccagé les villes du sud d’Israël le 7 octobre. Auparavant, le Hamas n’en avait libéré que quatre.
La trêve ne devrait pas commencer avant jeudi matin, et l’heure du début n’a pas encore été officiellement annoncée mercredi après-midi.
Un communiqué publié mardi soir par le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a indiqué que 50 femmes et enfants seraient libérés sur quatre jours, à raison d’au moins 10 par jour. Au-delà, la trêve pourrait être prolongée de jour en jour à condition que 10 otages supplémentaires soient libérés chaque jour.
Le ministère israélien de la Justice a publié une liste de 300 noms de prisonniers palestiniens qui pourraient être libérés.
« Le gouvernement israélien s’est engagé à ramener tous les otages chez eux. Ce soir, il a approuvé l’accord proposé comme première étape pour atteindre cet objectif », indique le communiqué du gouvernement.
Le Hamas a déclaré que les 50 premiers otages seraient libérés en échange de 150 femmes et enfants palestiniens emprisonnés en Israël. Des centaines de camions transportant des fournitures humanitaires, médicales et de carburant entreraient à Gaza, tandis qu’Israël cesserait toutes les sorties aériennes au-dessus du sud de Gaza et maintiendrait une fenêtre d’interdiction de survol quotidienne de six heures dans le nord, ont déclaré les islamistes au pouvoir dans l’enclave.
Israël a soumis Gaza à un siège et à des bombardements incessants depuis l’attaque du Hamas, qui a tué 1.200 personnes, pour la plupart des civils, selon les décomptes israéliens. Depuis lors, plus de 14.000 Gazaouis ont été tués, dont environ 40 % d’enfants, selon les autorités médicales du territoire.
Le négociateur en chef du Qatar pour les négociations de cessez-le-feu, le ministre d’État au ministère des Affaires étrangères Mohammed Al-Khulaifi, a déclaré à Reuters que la trêve signifiait qu’il n’y aurait « aucune attaque du tout. Pas de mouvements militaires, pas d’expansion, rien ».
Le Qatar espère que cet accord « sera le point de départ d’un accord plus vaste et d’un cessez-le-feu permanent… C’est notre intention », a-t-il déclaré.
Israël et le Hamas ont toutefois déclaré que la pause dans les hostilités n’arrêterait pas leurs missions plus larges.
« Nous sommes en guerre et nous continuerons la guerre jusqu’à ce que nous ayons atteint tous nos objectifs. Détruire le Hamas, rendre tous nos otages et garantir qu’aucune entité à Gaza ne puisse menacer Israël », a déclaré Netanyahu dans un message enregistré.
Le Hamas a déclaré dans sa déclaration : « Alors que nous annonçons la conclusion d’un accord de trêve, nous affirmons que nos doigts restent sur la gâchette et que nos combattants victorieux resteront aux aguets pour défendre notre peuple et vaincre l’occupation. »
Une trêve dans la guerre n’est pas la fin de la guerre.
Et là réside l’enjeu majeur pour le monde entier, bien au-delà, uniquement de cette région.
Le monde a besoin d’une paix durable, et la paix durable ne peut passer que par la solution à deux Etats, déjà négociée à maintes reprises, et déjà acceptée, notamment par les Palestiniens sous Yasser Arafat.
Cette trêve est une bonne nouvelle.
La première depuis le début de ce bain de sang.
Si le monde entier salue ce cessez-le-feu, il est aussi important de tourner nos regards vers l’Ukraine où nous pourrions espérer la même chose.
Une trêve où l’on cesse de s’entretuer.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT

2°/Naarea, l’avenir du nucléaire, pour les industries alimentées par les déchets radioactifs !
par Charles Sannat | 23 Nov 2023 | Énergie

La pédagogie étant basée sur la répétition comme le disait la femme du Pépé, à savoir la Mémé, je le répète.
Laisse une planète en bon état à nos enfants n’est qu’une toute petite partie du problème, parce que la solution proviendra surtout du fait que nous laisserons des enfants en bon état pour notre planète, des enfants qui ne seront pas des imbéciles et des abrutis, qui seront bien formés, qui sauront bien penser ce qui veut dire commencer par penser tout court et inventer les solutions dont nous avons besoin et qui existent forcément.
Je vous invite à découvrir cet article consacré à cette pépite française, parce, que, oui, notre pays recèle des trésors de créativité et de gens brillants dont le travail peut changer le monde sans avoir besoin de tous partir s’occuper des chèvres au Larzac en vivant avec des pulls percés dans le froid polaire d’habitats décroissants en mangeant du quinoa végan.
Il n’y a aucune fatalité. Oui nous devons consommer moins et nettement mieux, mais le monde est vaste et riche, nous n’avons pas à redouter le « réchauffement climatique » ni à accepter l’anxiété climatique prélude à la dépression généralisée. Il faut affronter les problèmes et trouver les bonnes solutions pour les résoudre avec entrain, envie et ambition.
« Première mondiale pour le petit réacteur nucléaire de la start-up française Naarea »
Source Sciencesetavenir.fr ici
« Première mondiale pour la société française Naarea, qui vient de réaliser une boucle à sels fondus opérationnelle entièrement en carbure de silicium à une température de 700°C. Cette avancée nucléaire devrait permettre la mise au point d’un petit réacteur modulaire, en vue de décarboner l’industrie, principal émetteur de CO2 aujourd’hui. Entretien exclusif avec Jean-Luc Alexandre, président-directeur général de Naarea. »
La société Naarea, lauréate de l’appel à projets « Réacteurs Nucléaires Innovants » du plan d’investissement France 2030, développe un petit réacteur nucléaire innovant : sa technologie repose sur un réacteur à sels fondus produisant de l’énergie à partir de combustibles nucléaires usagés actuellement entreposés et d’uranium appauvri. Elle vient de réaliser une première mondiale.
« Un réacteur qui permettra la fermeture complète du cycle du combustible nucléaire, le « Graal » absolu ! »
Sciences et Avenir : Où en est le développement de votre petit réacteur nucléaire ?
Jean-Luc Alexandre : Ces dernières semaines, nous avons franchi des étapes importantes. Nous avons ainsi mis en place en huit mois la première boucle à sels fondus en carbure de silicium au monde. Cette boucle est opérationnelle et tourne quotidiennement à une température de 700 °C. Le sel à cette température est transparent et liquide comme de l’eau, ce qui est assez fascinant. Ces résultats sont cruciaux pour valider à la fois le matériau utilisé et la technologie globale. Nos tests en laboratoire ont confirmé l’absence de corrosion du sel que nous utilisons, qui est en fait un sel de cuisine. Cet exploit a été réalisé en partenariat avec des laboratoires français, ce qui marque notre engagement pour la souveraineté technologique nationale. Nous avons par ailleurs des résultats très encourageants quant à la synthèse de nouveaux types de sel, incluant de l’uranium et du plutonium, des développements inédits en France.
Pouvez-vous décrire votre concept ?
Nous développons un petit réacteur qui permettra la fermeture complète du cycle du combustible nucléaire, le « Graal » absolu ! Fermer ce cycle permet d’accélérer l’élimination des déchets à vie longue. Alors que ces déchets durent plusieurs centaines de milliers d’années, nos produits de fission auront une durée de vie d’environ 250 ans, ce qui est beaucoup plus gérable. Pour cela, nous avons conçu un micro générateur de quatrième génération basé sur l’utilisation de sels fondus et de neutrons rapides. La maîtrise de la fermeture complète du cycle du combustible est fondamentale, car c’est ce qui pourrait rendre le nucléaire durable. Nous sommes un parfait complément des réacteurs EPR, les réacteurs à eau pressurisée.
Notre petit réacteur de 40 mégawatts électriques occupera un volume équivalant à un conteneur de la taille d’un autobus. Le refroidissement du système, qui fonctionnera à pression atmosphérique, ne nécessitera pas d’eau et n’est donc pas astreint à la proximité d’une rivière ou d’une mer. Par conséquent, il peut être installé dans n’importe quelle usine ou îlot industriel sécurisé – répondant aux normes de sécurité Seveso. Ce module prévu pour être fabriqué en série en usine pourrait être installé sans besoin de beaucoup de génie civil in situ.
En gros, ce mini-réacteur, sans besoin de refroidissement nécessitant des fleuves qui pourraient se tarir ou s’assécher comme c’est le cas par exemple du Rhône actuellement ce qui nous pose des problèmes avec nos voisins Suisses qui retiennent le débit de fleuve partagé, ce mini-réacteur qui peut-être installé dans toutes les grosses usines nécessitant d’énormes quantité d’énergie peut-être une solution remarquable et d’avenir, d’autant plus qu’il peut fonctionner avec des combustibles qui sont en réalité des déchets actuellement stockés.
Bref, si la planète elle, est limitée, la recherche et la créativité sont sans limite !
Tout n’est pas limité.
Vous avez ici un exemple, une illustration de ce que nous pouvons faire croître, et de ce qu’il faut faire décroitre.
Des enfants en bon état pour notre planète.
Si vous comprenez ce message, vous êtes la résistance à ce climat de dépressifs sous prozac.
Charles SANNAT
Pour aller plus loin le site de l’entreprise Naaera.fr ici

3°/Vendre pour survivre. Les derniers instants de l’empire de Drahi qui vend pour 500 millions d’euros avec une dette de 60 milliards
par Charles Sannat | 23 Nov 2023 | Entreprises

Je n’aime pas tirer sur les ambulances, ni même me réjouir des difficultés des gens.
Si je ne comprends pas, ni ne m’explique facilement, ou par les ratios et les usages habituels comment Patrick Drahi, aussi brillant soit-il a pu réussir à lever 60 milliards d’euros de dettes et être suivi par de très grandes banques dans une espèce de folle fuite en avant, voir cet empire vaciller n’est jamais une bonne nouvelle notamment pour les gens qui y travaillent.
C’est article du Figaro qui titre que Drahi « s’attaque à sa montagne de dettes avec la cession des data centers de SFR ».
Je trouve cela un tantinet optimiste.
C’est une manière de voir la situation.
« L’opération était dans les tuyaux depuis plusieurs mois. Contraint à accélérer son désendettement pour rassurer ses créanciers, Altice France (maison mère de SFR) a annoncé ce mardi matin une opération importante avec la vente de ses centres de données en France, aujourd’hui exploités par l’opérateur télécoms. Ayant réuni ses 257 data centers dans une nouvelle structure, baptisée UltraEdge, le groupe de Patrick Drahi va en céder 70 % du capital à l’américain Morgan Stanley Infrastructures Partners. »
Ok.
Mais alors ça rapporte combien cette cession ?
« La transaction valorise UltraEdge à hauteur de 764 millions d’euros, soit 29 fois les résultats d’exploitation. Si Altice avait précédemment évoqué une valorisation à 1 milliard d’euros pour cet actif, le prix payé par la filiale du géant bancaire américain n’est pas si faible, dans le contexte de la remontée brutale des taux d’intérêt. En cédant plus des deux tiers du capital, Altice France devrait récupérer un peu plus de 530 millions d’euros, et conservera 30 % du gâteau. Une façon de peser encore sur l’avenir de ces centres de données, qui hébergent notamment celles de SFR. »
Ok…
530 millions alors que la dette du groupe est de 60 milliards. Autant vous dire que c’est insignifiant.
Le Figaro écrit tout de même que « seule, cette vente ne règle évidemment pas le sujet. Mais elle devrait servir à rembourser une partie des deux prochaines échéances de dette prévues pour Altice France, de 1,6 milliard d’euros en 2025 et 1,25 milliard en 2026 ».
Ils sont quand même très aimables au Figaro et sacrément diplomates.
Les taux d’intérêt sur la dette d’Altice qui est à taux variable et avec une maturité très courte vont vite monter.
60 milliards à 4 % cela fait 2.4 milliards d’euros par an rien que pour les intérêts.
La seule possibilité pour Drahi de s’en sortir, c’est de voir les banques centrales rapidement entamer la baisse des taux.
Pour le moment les cessions ne permettrons au groupe que de gagner du temps.
Un temps qui bien évidemment peut s’avérer précieux car rapprochant l’entreprise d’une inflexion de la politique monétaire des banques centrales.
Charles SANNAT
Source Le Figaro.fr ici

4°/Christine Lagarde – « Le voyage n’est pas terminé contre l’inflation »
par Charles Sannat | 23 Nov 2023 | Banques Centrales,

Elle n’a pas tout fait dit que le voyage au bout de l’inflation n’était pas terminé mais presque.
Elle vient de déclarer qu’il ne faut « pas encore temps de crier victoire ».
La présidente de la Banque centrale européenne Christine Lagarde a prévenu mardi que :
« Il n’est pas encore temps de crier victoire (…) », a-t-elle indiqué, lors d’une conférence à Berlin. « Nous pouvons agir à nouveau si nous constatons qu’il y a des risques croissants de ne pas atteindre notre objectif d’inflation » , a prévenu la présidente de l’institution qui semble ainsi ne pas exclure un nouveau tour de vis monétaire si nécessaire. « Nous sommes dans une phase (…) que je caractériserais comme étant vigilante et concentrée », a-t-elle ajouté, reconnaissant toutefois que l’inflation avait « considérablement diminué » en zone euro. La Banque centrale européenne a maintenu à leur niveau ses principaux taux d’intérêt lors de sa dernière réunion de politique monétaire en octobre, après dix hausses consécutives pour lutter contre l’inflation en zone euro. »
La hausse des prix a fortement ralenti dans la zone, à 2,9 % en octobre, proche de l’objectif de moyen terme de 2 % visé par l’institution.
Et Christine Lagarde de conclure que « Le voyage n’est pas terminé, et nous devons terminer ce voyage »,
Un voyage au bout de la nuit inflationniste qui ne dépend pas que de nous mais également, vous l’avez compris, des tensions géopolitiques que nous créons ou que nous alimentons, ou que nous réussissons pas à faire diminuer… finalement nous en sommes peut-être un peu responsables aussi.
Charles SANNAT
https://insolentiae.com/christine-lagarde-le-voyage-nest-pas-termine-contre-linflation/

5°/Accablant. L’État est responsable à 100 % de la crise de l’immobilier et du logement.
par Charles Sannat | 23 Nov 2023 | Grille article, Immobilier

C’est un article de Contrepoints (source ici) écrit par Michel Albouy qui revient sur la responsabilité accablante de l’Etat dans la crise immobilière actuelle.
Que dit-il ?
En gros la même que moi et nous sommes parfaitement d’accord. Souvenez-vous d’ailleurs de la vidéo ci-dessous.
« Comme souvent, les origines d’une crise sont multiples. Passons en revue ces différents facteurs qui ont enrayé le marché immobilier :
la hausse des taux d’intérêt,
la fiscalité immobilière,
les injonctions concernant la rénovation énergétique,
l’avalanche de normes pour la construction,
la gestion de l’urbanisme par les communes,
l’encadrement des loyers. »
Vous pourriez objecter que les taux d’intérêt sont fixés par la BCE et que l’État français n’en est pas totalement responsable.
C’est vrai mais uniquement si l’on ne veut pas raisonner un peu plus loin.
La souveraineté d’une nation, depuis des siècles cela se définit comme étant le pouvoir de décider de ses lois et de les faire appliquer, de décider de la paix ou de la guerre et enfin de battre monnaie.
Nous ne faisons plus rien de ces trois attributs.
Notre État, nos responsables politiques ont abdiqué notre souveraineté à d’autres. Par lâcheté, par idéologie, par intérêt, peu importe,
l’Otan décide de la paix ou de la guerre pour nous.
La grosse commission européenne légifère avec ses directives rédigées par des gens non-élus et sans aucune onction démocratique et populaire y compris sur la composition de nos boites de camembert.
Enfin, la BCE frappe monnaie à notre place.
Alors, oui, même sur ce sujet-là, l’Etat est responsable et coupable d’avoir abandonné sa souveraineté qui en réalité est la nôtre.
Comme nous vivons dans un monde d’abrutis incultes biberonnés à TikTok et éteint progressivement et massivement aux drogues « douces » et « récréatives », il n’y a plus personne pour se souvenir de la déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen.
Article 3 (source directement sur le site du Conseil Constitutionnel ici)
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Je crois que c’est clair non ?
La souveraineté de la France, c’est la nation française. Pour le reste ce n’est que l’usurpation de souveraineté.
Alors, oui.
L’État est coupable de tous nos maux.
Comment dit le nouveau président Argentin déjà?
Ha oui…
« Afuera ».
Dehors.
Un mot qui va connaître un véritable renouveau dans notre pays dans les prochains mois.
Dehors ou dégagez. Il faut qu’ils sentent la colère sourde et rentrée monter. Le « dégagisme » va revenir avec une force inouïe jamais vue.
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur http://www.insolentiae.com. »


