6025 – Charles Sannat « Le Mozart a parlé. « Nous n’avons pas un problème de dépenses excessives mais un problème de moindres recettes » et donc ? ».- 10.04.24 – Insolentiae

1°/« Le Mozart a parlé. « Nous n’avons pas un problème de dépenses excessives mais un problème de moindres recettes » et donc ? ».
2°/Bruno « lumière » de Bercy découvre la mondialisation des « rivalités »…
3°/Mauvais présage JO 2024. Mieux que les dents de la mer… les dents de la Seine !
4°/Et si la prochaine révolution Apple était…. un Humanoïde à la pomme ?
5°/La liberté des freelances, la prison du salariat.

1°/« Le Mozart a parlé. « Nous n’avons pas un problème de dépenses excessives mais un problème de moindres recettes » et donc ? ». L’édito de Charles SANNAT
par Charles Sannat | 10 Avr 2024 | A la une, Chronique de l’effondrement


Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Ce qui est bien avec les actualités de l’ORTF c’est que chaque jour elles me permettent d’alimenter mon bonheur ineffable.
Cela fait maintenant 15 ans que je chronique la situation économique de notre bas monde et si cela n’était pas si grave pour tant de gens à qui je pense à chaque fois que j’écris mes lignes quotidiennes nous pourrions en rire vraiment de bon cœur.
Aujourd’hui l’information essentielle c’est que Macron a parlé.
Et quand j’ai écrit ces mots c’est ce passage de Forest Gump qui m’est revenu immédiatement à l’esprit.
« Silence il va nous dire quelque chose ».
Et que nous a dit notre Mozart du Palais aux comptes si parfaits (second degré) ?
« Nous n’avons pas un problème de dépenses excessives mais un problème de moindres recettes »
Il n’y a pas à dire, le type est une flèche. Ma fille « cruelle » dirait « papa c’est vraiment pas le couteau le plus affuté du tiroir ».
Alors quelle est l’analyse fulgurante du Roquet Balboa de l’Elysée ? (source Le Figaro.fr ici)
Que « nous n’avons pas un problème de dépenses excessives »ben non mon Manu, c’est vrai qu’avec une dépense publique de presque 60% du PIB il n’y a rien d’excessif…
Hahahahahahahahaha.
Je pense qu’en Corée de l’Ouest, le coté excessif ne commence qu’à 100% de dépenses publiques dans le PIB ce qui donne la Corée du Nord.
C’est lui qui nous avait dit « ce n’est pas un échec, je dirais que ça n’a pas vraiment fonctionné » ! Une nouvelle Macronade, comme les raffarinades de Raffarin de Tarascon mais en plus drôle.
Et donc pour el Mozart de la finance, le problème c’est la baisse des recettes….
Des vedettes je vous dis.
A ce niveau du grand art. Et le pire, c’est qu’ils se prennent pour des cadors. Il faut dire qu’ils ne sont pas en manque de cireurs de pompes. Ici, un cirage luisant de première classe. Catégorie médaille d’or aux JO de Paris. En Corée de l’Ouest, il en va de la propagande comme des bons et des mauvais chasseurs.
Il y a la bonne propagande (Macron est tellement fort, tellement impressionnant, si charismatique, avec une intelligence tétanisante pour les humbles serviteurs),
et la mauvaise propagande (genre en Russie quand il faut dire de Poutine qu’il est si brillant, si impressionnant, si charismatique etc).


Donc notre grand phare de l’économie rajoute dans sa « brillance » lumineuse que « j’entends parler de PLFR (projet de loi de finances rectificatives, un texte d’origine gouvernementale qui vise à rectifier le budget voté pour l’année, ndlr). Je n’en vois pas l’intérêt. Le gouvernement doit faire les choses avec sérieux pour tenir nos objectifs. »
Évidemment… Yaka faire les choses avec sérieux pour tenir nos objectifs. C’est fastoche les copains !
Je dirais même « fokon » fasse mieux coté finances les gars.
Nous avons un évident problème de dépenses, et nous avons un énorme problème de recettes totalement lié à notre problème de dépenses ! Si on dépense moins on a moins besoin de recettes, hein les vedettes ! Ensuite dépenser pourquoi pas, mais pour quoi ? Mais ce n’est pas tout. J’en ai parlé hier justement sur Ecorama. Quand on flingue l’immobilier en pensant que ce n’est pas productif alors que ce secteur produit 93 milliards de recettes fiscales, c’est qu’il manque quelques cases économiques à certains. Trouposol découvre que l’immobilier improductif produisait plein d’impôts… IFI, revenus fonciers, TVA sur la construction, sociétés du BTP, agences immo et tous les professionnels du secteur, des centaines de milliers d’emplois.
En Macronie, dans la start-up nation à baby-foot du Manu, l’immobilier ça ne compte pas, c’est pas « fun », c’est « improductif », alors on s’acharne dessus comme un imbécile et l’on se croit au-dessus de la sagesse populaire et des adages de bon sens… « quand le bâtiment va tout va ».
Pourtant, je vous assure c’est simple. D’abord ne pas nuire. Ne rien toucher à ce qui marche et s’occuper uniquement des trains en retard.
Mais ce n’est pas assez bien pour les vedettes de ce pays.
Et mamamouchi 1er de conclure par une fulgurance dont lui seul à le secret :
« Si on commence à péter la confiance, c’est fini. Il n’y a rien de plus dur à gagner. Cela fait sept ans que l’on produit des résultats sur les questions (économiques). Donc on tient le cap. »
Navré de faire le cassandre mon Manu, mais je te le dis. La confiance elle est « pétée » comme on dit chez toi. Les magasins sont vides, et les petits riches, les classes moyennes ont parfaitement compris le message. Faut mettre de côté et serrer les boulons parce que tu vas nous serrer la ceinture. Tu vas nous la serrer parce que tu n’as pas encore compris que, si, nous avions un problème de dépenses, et que si tu ne baisses pas les dépenses, tu termines toujours par augmenter les impôts. C’est bon. On a tous compris.
Conclusion ?
Article 1, Manu a toujours raison. Article 2, quand Manu se trompe et se met le doigt dans l’œil jusqu’au coude, se reporter à l’article 1. Vous connaissiez l’infaillibilité papale ? Et bien vous avez l’infaillibilité « macronale ». Dans les deux cas, on n’a jamais raison contre la réalité.
Alors Macronléon entre deux guerres avec Palpoutine va continuer ainsi. Puis se sera la sortie de route financière, parce que la réalité ne ment jamais.
A ce moment-là… c’est votre argent, votre épargne, vos patrimoines qui serviront de caution, de garantie, de nantissement pour sauver la solvabilité de notre pays détruite par de brillants gestionnaires. Des types tellement forts que même mes poules gèrent mieux leur stock de graines.
Ici, le préparez-vous consiste en un nécessaire, en un indispensable… organisez-vous !
Ceux qui veulent aller plus loin et comprendre ce qu’il va se passer, ce qui va être taxé et comment limiter les risques, peuvent s’abonner à la lettre STRATEGIES. Tous les renseignements ici.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT

https://insolentiae.com/le-mozart-a-parle-nous-navons-pas-un-probleme-de-depenses-excessives-mais-un-probleme-de-moindres-recettes-et-donc-ledito-de-charles-sannat/

2°/Bruno « lumière » de Bercy découvre la mondialisation des « rivalités »…
par Charles Sannat | 10 Avr 2024 | Démondialisation Déglobalisation


« Le temps de la mondialisation heureuse est fini. Elle a fait place à une mondialisation de rivalités.
Il est urgent de redéfinir une stratégie de politique économique et industrielle européenne commune. »
Entre deux ouvrages d’une grande profondeur philosophique, l’ami Burno qui sait pénétrer les secrets de la littérature française, semble s’apercevoir au bout de 7 ans au ministère de l’économie que la mondialisation connaîtrait quelques petits soubresauts.
Mais mon Burno, ce n’est pas une mondialisation des « rivalités » à laquelle tu es confronté.
Non Manu, c’est une démondialisation.
Ce qui nous arrive, c’est un nouveau rideau de fer qui est train de s’abattre sur le monde.
C’est une partition.
Entre la Chine et la Russie et les pays membres de l’Otan.
Cette démondialisation, mon cher ministre de l’économie, est par nature très inflationniste.
C’est un processus parce qu’aucun des deux camps n’a intérêt qu’elle soit trop brutale. Mais elle peut s’accélérer en fonction des évènements géopolitiques.
Quelqu’un peut-il aider Bruno Le Maire à faire le bon diagnostic ?


Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT

https://insolentiae.com/bruno-lumiere-de-bercy-decouvre-la-mondialisation-des-rivalites/

3°/Mauvais présage JO 2024. Mieux que les dents de la mer… les dents de la Seine !
par Charles Sannat | 10 Avr 2024 | Chronique de l’effondrement,

Cette information n’a rien d’économique, quoi que, parler des JO c’est parler d’un véritable four financier et budgétaire, c’est évoquer un trou de milliards d’euros béants et des JO qui ne rapporteront rien par rapport à ce qu’ils auront coûté au pays.
Ce nouveau film de Netflix fait froid dans le dos. On peut presque y voir un signe. Un mauvais signe, un mauvais présage.
Si les dents de la mer pouvait me faire frémir lorsque j’étais enfant, je n’ose même pas montrer cette bande annonce à mes enfants qui vont cauchemarder pendant des semaines.
Il vaudra mieux que notre Professeur Trouposol fasse bien vérifier la Seine avant de plonger dedans en nous montrant sa belle musculature de boxeur du Palais et de roquet balboa de l’Élysée.
Ces vérifications seront d’autant plus nécessaires, que certaines mauvaises langues annoncent que le requin serait de nationalité russe….


Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT

https://insolentiae.com/mauvais-presage-jo-2024-mieux-que-les-dents-de-la-mer-les-dents-de-la-seine/

4°/Et si la prochaine révolution Apple était…. un Humanoïde à la pomme ?
par Charles Sannat | 10 Avr 2024 | Larobolution

D’après l’agence Bloomberg, Apple explore la robotique domestique comme la « prochaine grande nouveauté » potentielle après l’arrêt du programme de voiture électrique « Apple » qui finalement ne verra pas le jour.
En effet la marque à la pomme est la recherche de nouvelles sources de croissance après la suppression de son véhicule électrique.
L’entreprise dispose désormais d’équipes travaillant sur des appareils domestiques automatisés car la robotique personnelle est un domaine qui a le potentiel de devenir l’une des « prochaines grandes choses » en constante évolution de l’entreprise, selon des personnes proches du dossier.
Les ingénieurs d’Apple étudient un robot mobile capable de suivre les utilisateurs dans leur maison, ont déclaré les personnes, qui ont demandé à ne pas être identifiées car le projet Skunk-Works est confidentiel mais commence à fuiter.
L’expression Skunk works peut se traduire par « Atelier des Putois » !
Aux États-Unis, la mouffette, cousine du putois en Europe, possède une image à la fois négative en raison de l’odeur infecte que cet animal dégage et positive en tant qu’être « mal-aimé ».
Ce terme est utilisé dans les affaires, l’ingénierie et les domaines techniques pour désigner un groupe bénéficiant d’une forte autonomie au sein d’une entreprise pour travailler sur des projets novateurs ou secrets.
En clair, les grandes innovations proviennent toujours de ces ateliers de putois, de ces gens créatifs, mal-aimés, parce qu’ils brisent les codes des salariés conventionnels. Mais, l’innovation est toujours transgressive, ce qui implique que seules les entreprises qui acceptent d’avoir des salariés putois sont capables d’innover et de grandes choses.
C’est le cas d’Apple, qui en plus dispose d’un trésor de guerre se comptant en dizaine de milliards de dollars.
Ce n’est pas la concurrence qui manque, mais il est fort probable que nous ayons un jour un humanoïde… Apple !
Je vous laisse regarder les progrès du robot Figure 1 d’Open AI et d’Elon Musk.


Source Bloomberg.com ici
Charles SANNAT

https://insolentiae.com/et-si-la-prochaine-revolution-apple-etait-un-humanoide-a-la-pomme/

5°/La liberté des freelances, la prison du salariat.
par Charles Sannat | 10 Avr 2024 | Emploi & Chômage,


En entreprise, il faut accepter de se faire « formater », d’obéir aux injonctions au bonheur du « CHO », le chief happyness officier, il faut se plier aux règles stupides du « présentisme » ou le « petit (ou grand) chef » confond travail, productivité et léchage de bottes tard le soir. Inutile de vous dire que je n’ai pas du tout une bonne image (ni des bonnes expériences) des méthodes de « management » que l’on doit subir dans les entreprises.
Pour illustrer ce que je dis là, vous pouvez regarder ces quelques minutes d’un entretien de recrutement pour devenir un simple conseiller prévoyance… dans une compagnie d’assurance. Le rêve absolu. Quand j’étais petit… je rêvais de devenir conseiller prévoyance au Gan… hahahahahahahahaha. Evidemment que non ! Je voulais être pompier et conduire les gros camions rouges !


Cet extrait est issu de ce reportage « La gueule de l’emploi ». Je vous invite à le regarder pendant vos longues soirées de printemps ! Ce reportage montre la violence inouïe que subissent les salariés dans notre pays. Une violence managériale qui est une succession de manipulations mentales et de méthodes plus que contestables mais qui servent de base à la vie dans les grandes sociétés.

 

 


Face à cette ambiance aussi toxique qu’abjecte, ceux qui pensent, ceux qui ne plient pas, ce qui ne se laisse pas « formater » et qui ne se soumettent pas, trouvent généralement le chemin de l’épanouissement professionnel dans des carrières en Freelance qui justement deviennent de plus en plus tendance !
Et c’est le Figaro qui y consacre un long article intitulé (source ici). Effectivement, il n’y a encore pas si longtemps devenir « consultant indépendant », cela signifiait très souvent « je suis senior trop vieux qui ne trouve plus de boulot de salarié et avec mes 57 ans il faut bien que je tienne pour atteindre la retraite ».
« J’ai triplé mon salaire et je m’organise librement » : le freelance, eldorado des actifs en quête d’indépendance
« Autrefois considéré comme voie de garage, le travail en indépendant a gagné ses lettres de noblesse. Désormais, il s’érige même en choix de carrière à long terme.
Depuis sa chambre, Paul, 24 ans, empoche 4000 euros net mensuels. Quelques mois auparavant, ce consultant en SEO, qui optimise la visibilité de différentes marques, amassait cette somme depuis le Canada ou la Thaïlande. Fraîchement diplômé d’un master à l’IAE, il s’est lancé à son compte. Il réalisait déjà des missions, et planchait en parallèle sur sa notoriété sur LinkedIn. À lui, la parfaite autonomie : il module ses journées à sa guise, se limitant à 7 ou 8 heures quotidiennes, et profitant du confort de son antre. Tout comme lui, 9 indépendants sur 10 ne cherchent pas un poste salarié, selon l’étude de la plateforme Malt auprès de 5000 freelances en Europe.
Ils refusent même des propositions, et ce, dès la sortie d’école, à l’instar de Paul, qui n’a pas souhaité poursuivre dans la structure qui l’a accueilli en alternance. Claude, 25 ans, a lui joué de malchance. Il a achevé son cursus d’ingénierie en pleine pandémie, ce qui contrecarrait ses envies d’ailleurs. Ce data analyst, dont le métier consiste à collecter des données afin de doper les performances marketing, a accepté un CDI «dans l’attente de» pouvoir embrasser ses desseins, explique-t-il aujourd’hui depuis Bangkok. Ces profils correspondent à une nouvelle tendance : «L’âge moyen demeure de 37 ans, mais la pyramide des âges s’avère davantage éclatée, aux extrêmes, avec des jeunes et des seniors», observe Alexandre Fretti, directeur général de Malt. »
« Je ne supporte pas de me plier au présentéisme. » témoigne le premier, ou encore cet autre témoignage, «j’ai triplé mon salaire, de 40.000 euros nets annuels à plus de 120.000, et je m’organise librement», souligne celle qui n’avait pas «prémédité» ce choix. Unanimement, le freelance tord le cou au slogan de campagne de Nicolas Sarkozy de 2007. Car pour eux, cela permet de travailler moins pour gagner… plus. «Je ne supporte pas de me plier au présentéisme, respecter bêtement le 10-18 en négligeant ma productivité du moment», soupire Claude.
Etre indépendant ce n’est pas facile mais… 
En fait rien n’est facile et pour « gagner » sa vie, il n’y a pas de solution de facilité. Les méthodes de management peuvent être terriblement toxiques et la pression telle que rapidement les salariés craquent. Mais ce n’est pas grave pour l’entreprise car ces derniers sont interchangeables. En revanche, c’est évidemment grave pour les personnes. Les gens. Les individus.
Quand on est « freelance », il y a une réelle précarité et aucune certitude du chiffre d’affaires qui sera fait le mois suivant. Néanmoins, il n’y a pas dépression liées aux techniques de contraintes managériales.
Là où les choses deviennent très philosophiques, c’est qu’en réalité, nous avons tous un choix à faire. Celui de travailler pour les autres et dans une forme de soumission plus ou moins marquée en optant pour une forme de sécurité (un salaire versé, une mutuelle, un droit au chômage, des congés payés), soit de choisir le chemin de la liberté avec tout ce qu’l implique d’incertitudes a priori.
A l’usage, nombreux sont les freelances, qui apprennent à gérer les périodes de moindre activité, en mettant beaucoup d’argent de côté quand ils travaillent pour les périodes de vaches plus maigres.
Pour ceux qui veulent penser et réfléchir à tout cela, sachez que la partie Emploi de mon approche PEL dans la lettre STRATEGIES (pour Patrimoine, Emploi, Localisation) traite évidemment cette thématique et continuera à la traiter régulièrement. En effet, par bien des égards, il est désormais plus facile de trouver des clients, qu’un bon poste salarié ce qui est un renversement des choses que très peu ont encore formalisé.
Pour vous abonner à la lettre et aux dossiers Stratégies c’est ici.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur http://www.insolentiae.com. »

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