5662 – Ch.Sannat « Vers la guerre totale ou la paix négociée. Une intensité diplomatique jamais vue ». 18.10.23. – Insolentiae


1°/« Vers la guerre totale ou la paix négociée. Une intensité diplomatique jamais vue ».
2°/Russie, toutes les réserves peuvent être utilisées pour augmenter la production d’armes
3°/Prix de l’électricité et nucléaire. Négociation européenne de la dernière chance pour la France
4°/« Escrologie ». Combustibles fossiles, sortie du charbon : l’UE assouplit sa position pour la COP28
5°/Le S&P 500, indice vedette de la bourse américaine surévalué de 63 % !


1°/« Vers la guerre totale ou la paix négociée. Une intensité diplomatique jamais vue ». L’édito de Charles SANNAT
par Charles Sannat | 18 Oct 2023 | A la une, Guerre


Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Je commence à ne plus me faire tout jeune et avec mes quelques années au compteur, j’ai la prétention non pas d’avoir tout connu, loin de là mais d’avoir un tout petit peu désormais de recul historique.
J’ai vu Tchernobyl exploser enfant. J’écoutais, caché derrière le canapé des émissions terrifiantes qui simulaient des attaques soviétiques sur la France avec des blindés du Pacte de Varsovie qui seraient à Brest en 48 heures. J’ai vu Gorbatchev arriver au pouvoir, la glasnost et la perestroïka. J’ai vu tomber le Mur de Berlin. J’ai vu des coups d’Etat partout dans le monde et bien des coups fourrés. Le « Foch » et le « Clémenceau » déployés ici et ailleurs. J’ai vu le monde s’ouvrir, la mondialisation et l’immigration.
J’ai vu le 11 septembre et la liberté américaine s’éteindre.
J’ai vu la Chine, au même moment, s’éveiller.
J’ai vu tout cela et tant d’autres choses.
Dans tout ce que j’ai vu, j’ai vu aussi Itzhak Rabin assassiné par balle emportant un processus de paix si fragile. J’ai vu Yasser Arafat assassiné empoisonné, sa mort enterrant tout espoir de paix ou presque.
J’ai vu des guerres et des massacres, et toujours le Proche-Orient. Toujours.
Mais.
Mais, je n’ai jamais vu une telle intensité diplomatique.
Jamais.
Retenez ceci. Souvenez-vous aussi.
Jamais l’intensité diplomatique n’a été aussi forte et je vais y revenir.
Cette intensité matérialise le niveau de gravité jamais atteint dans notre histoire depuis la Seconde Guerre mondiale. Rien de moins.
Mais avant, comprendre ce sujet nécessite beaucoup de connaissances et autant de pondération et de tempérance.
Les Gazaouis ne voulaient pas plus de la guerre que du Hamas. 
Selon le dernier sondage du Washington Institute, réalisé en juillet 2023, il n’y a que quelques semaines (source ici), la décision du Hamas de rompre le cessez-le-feu n’a pas été une décision populaire. Alors que la majorité des Gazaouis (65 %) pensent qu’il est probable qu’il y ait « un vaste conflit militaire entre Israël et le Hamas à Gaza » cette année, un pourcentage similaire (62 %) soutient le maintien d’un cessez-le-feu entre le Hamas et Israël. De plus, la moitié (50 %) sont d’accord avec la proposition suivante : « Le Hamas devrait cesser d’appeler à la destruction d’Israël et accepter plutôt une solution permanente à deux États basée sur les frontières de 1967. » De plus, dans toute la région, le Hamas a perdu en popularité au fil du temps auprès de nombreux publics arabes. Cette baisse de popularité a peut-être été l’un des facteurs motivant la décision du groupe d’attaquer.
En fait, la frustration des Gazaouis à l’égard de la gouvernance du Hamas est claire ; la plupart des Gazaouis ont exprimé une préférence pour l’administration de l’AP et les responsables de la sécurité plutôt que pour le Hamas – la majorité des Gazaouis (70 %) ont soutenu une proposition selon laquelle l’AP enverrait « des responsables et des agents de sécurité à Gaza pour y prendre la direction de l’administration, le Hamas renonçant à des unités armées distinctes ». », dont 47 % tout à fait d’accord. Il ne s’agit pas non plus d’un point de vue nouveau : cette proposition a bénéficié d’un soutien majoritaire à Gaza depuis le premier sondage réalisé par le Washington Institute en 2014.
Les Gazaouis sont donc loin, très loin de soutenir tous le Hamas. Les choses, comme vous pouvez le voir sont nettement plus nuancées et la population palestinienne souffre de la présence du Hamas de sa violence quotidienne aussi sur les populations civiles.
Israël en réalité hésite à faire ce qu’ils veulent faire…
Les Israéliens veulent punir les terroristes du Hamas ce qui est aussi légitime que compréhensible, mais une fois que l’on a dit cela, d’un point de vue analytique, politique et militaire rien n’a été dit.
Quelles sont les options pour les Israéliens ?
1/ La destruction totale du Hamas sans intervention massive au sol avec incursions et opérations commando.
2/ Guerre totale à Gaza, au Hamas et effets collatéraux aux Gazaouis.
3/ Une solution avant tout politique la solution 1 avec l’installation de l’Autorité Palestinienne sur Gaza modérée et qui accepte la solution à deux Etats.
4/ La solution du déplacement de la population de Gaza en totalité avec réinstallation en Egypte ou en Jordanie ou un peu des deux, peu importe, mais avec les attaques aussi mortelles, beaucoup pensent là-bas que les Gazaouis ont perdu le droit de vivre à proximité des Israéliens.
Cette hypothèse la numéro 4 est à mon sens celle qui est privilégiée par l’administration Netanyahu. C’est d’ailleurs tout le sens de la ligne rouge tracée par le Roi de Jordanie.
Le Roi Abdallah II de Jordanie a fixé ses lignes rouges: « pas de réfugiés » palestiniens en Jordanie, « ni en Égypte ». Ni la Jordanie ni l’Égypte ne veulent servir de réceptacle pour les Palestiniens dont certains dirigeants israéliens ne veulent plus.


Voilà ce qui se joue actuellement.
Le déplacement de 2 millions de personnes et la suppression de la bande de Gaza.
Il y a évidemment de quoi émouvoir le monde musulman au sens large et la mise en œuvre de cette stratégie du déplacement ne peut pas se mettre en place sur un coup de tête.
Chacun compte ses soutiens.
Chacun se prépare et fourbit ses armes.
C’est ce moment-là que nous vivons.
Alors vous avez tous les chefs d’États qui se rencontrent.
Poutine a rencontré plusieurs chefs d’États d’Asie. Du Vietnam, au Laos à la Chine où il est arrivé à Pékin.
L’Iran rencontre aussi bien les dirigeants d’Asie Centrale que… de Biélorussie, à quelques centaines de kilomètres de Paris et alliée des Russes.
Là aussi les propos de Loukachenko le président Biélorusse sont clairs tenus lors d’une réunion avec le vice-président iranien Mohammad Mokhber :
« La crise du Moyen-Orient contribue au fait que des pays qui nous sont hostiles – les États-Unis et l’Occident – dirigent constamment le fer de lance de ce conflit contre l’Iran. Vous le sentez mieux. Notre réponse est une : nous devons travailler davantage étroitement les uns avec les autres, coopérer ensemble pour contrer ces attaques. »


Au Tadjikistan c’est la même chose.


Vous avez sans doute vu le Chancelier Allemand en Israël, mais aussi l’arrivée de Joe Biden le président américain qui a toujours autant de mal à marcher.
Anthony Blinken le ministre des affaires étrangères américains tourne de capitale du Moyen-Orient en capitale du Proche-Orient.
Tout le monde s’agite.
Tout le monde déploie aussi ses armes.
La question au centre de toutes ces discussions ?
Le déplacement de Gaza. 
Inacceptable pour les uns. Indispensable pour les autres pour expier les horreurs des attaques sur des civils.
Le monde est donc, au bord de la guerre.
Si le sujet israélo-palestinien peut se résumer par cette formule si lapidaire « Beaucoup trop d’histoire, bien trop peu de géographie », cette phrase prend une dimension encore plus cruelle et complexe quand on évoque Gaza.
La bande de Gaza a si peu de géographie qu’il y est presque impossible d’organiser une zone démilitarisée suffisamment importante qui garantirait la sécurité d’Israël en laissant un espace géographique a minima aux Palestiniens.
Alors que faire ? 
Détruire le Hamas bien évidemment. Remettre le Fatah et l’Autorité Palestinienne au pouvoir à Gaza ce que les Gazaouis ne verraient pas d’un mauvais œil d’après les enquêtes d’opinions. Désarmer Gaza bien évidemment et organiser la prise en charge par l’ONU et assurer le développement économique de cette zone pour en faire une ville « riche ».
Pour cela ou une solution de ce type, il faut que l’ensemble des parties fassent preuve d’une grande sagesse. D’une grande conscience de l’histoire. Que tous, pèsent et soupèsent les risques.
Nous sommes dans cette phase.
Tous pèsent et soupèsent.
Il ne reste qu’une seule question en suspens.
La pièce a été lancée.
De quel côté va-t-elle retomber ?
La face de la paix ?
La face de la guerre ?
Si c’est la guerre, alors elle sera totale, elle sera mondiale et elle nous touchera tous. Tous. Où que nous soyons.
Le monde s’embrasera.
Espérons, que la sagesse, l’emportera sur nos pulsions destructrices collectives.
Espérons… le meilleur, mais n’oubliez pas de vous organiser pour le pire.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT

https://insolentiae.com/vers-la-guerre-totale-ou-la-paix-negociee-une-intensite-diplomatique-jamais-vue-ledito-de-charles-sannat/


2°/Russie, toutes les réserves peuvent être utilisées pour augmenter la production d’armes
par Charles Sannat | 18 Oct 2023 | Guerre |

Choïgou : L’industrie militaire a reçu le droit d’utiliser toutes les réserves pour la production d’artillerie.
Le complexe militaro-industriel a reçu l’autorisation d’utiliser toutes ses réserves, y compris ses capacités de mobilisation, pour augmenter la production d’artillerie, a déclaré le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou.
La Russie mobilise tout son potentiel industriel et il est colossal avec l’énergie abondante et pas chère et des matières première à foison.


Charles SANNAT


https://insolentiae.com/russie-toutes-les-reserves-peuvent-etre-utilisees-pour-augmenter-la-production-darmes/


3°/Prix de l’électricité et nucléaire. Négociation européenne de la dernière chance pour la France
par Charles Sannat | 18 Oct 2023 | Energie,


« Attention, sujet brûlant. Ce mardi, les ministres de l’Énergie des Vingt-Sept vont tenter, à Luxembourg, de trouver un accord sur la réfome du marché de l’électricité. « Nous devrons peut-être y passer la nuit, mais nous nous quitterons sur un accord », a affirmé la ministre espagnole Teresa Ribera, présidente du Conseil, en arrivant à la réunion. « Si nous n’avons pas d’accord aujourd’hui, ce sera difficile d’avoir un texte avant la fin du mandat du Parlement européen », a de son côté souligné la commissaire Kadri Simpson. »
L’urgence est pourtant là. « Il faut donner un signal de maîtrise des prix à tous les Européens avant l’hiver », insiste l’eurodéputé (Renew) Christophe Grudler. Pour espérer que le conseil de ce mardi soit conclusif, il faut d’abord que la France et l’Allemagne s’alignent. À Hambourg, la semaine dernière, Emmanuel Macron et Olaf Scholz ont traité de la question du marché de l’électricité en tête-à-tête, pour tenter, sans témoin, de purger enfin leurs différends. À l’issue, le président français a affirmé qu’un accord sur le marché de l’électricité était « à portée de main » tandis que le chancelier allemand jugeait que « le plus probable » était en effet « une solution européenne commune ». Emmanuel Macron l’a promise avant la fin octobre.
À lire aussi Énergie: « Pour retrouver une électricité bon marché, il faut se défaire des exigences de Bruxelles »
L’électricité nucléaire
Depuis que la Commission a présenté un projet de réforme au printemps, les discussions sont dans l’impasse. Le nœud du problème se présente sous la forme des 56 réacteurs nucléaires existants en France. Un parc unique en Europe, placé au croisement de deux lignes de fractures qui traversent les Vingt-Sept. La première porte sur le rôle de l’électricité nucléaire dans la transition énergétique du continent. La seconde, sur la compétitivité des prix de l’électricité que chaque État est en mesure d’assurer à ses citoyens et à ses entreprises. »
Avant la réunion du Conseil, la ministre française de la Transition énergétique Agnès Pannier Runacher a organisé en début de matinée une rencontre avec certains de ses homologues de l’Alliance du nucléaire, la coalition des pays partisans de l’atome au sein de l’Union formée cette année pour peser sur les débats européens. Une séance de « team building » avant le bras de fer ? Si l’opposition au nucléaire reste vive et pollue systématiquement les négociations sur les enjeux énergétiques, le débat s’est déporté ces dernières semaines sur la compétitivité. »
La dispute franco-allemande n’a « pour une fois rien à voir avec la forme de l’énergie, qu’elle soit nucléaire ou renouvelable, mais avec l’organisation du marché », a déclaré le ministre allemand (Vert) de l’Économie, Robert Habeck, le 11 octobre. Le problème du parc nucléaire français ? À ses yeux, c’est surtout qu’il est exploité par EDF, « un groupe public qui, grâce aux garanties de l’État, peut éventuellement faire ce qu’un système d’économie de marché ne peut pas faire». Autrement dit, Berlin redoute que la France vende ses électrons à perte, pour mieux attirer sur son sol des industriels pour qui l’Allemagne, privée du gaz russe, est brutalement devenue moins séduisante. Pour Agnès Pannier-Runacher, il ne faudrait pas que cette inquiétude d’une éventuelle distorsion de concurrence ne soit, encore une fois, un « prétexte » pour discriminer le nucléaire. « C’est le nucléaire qui assure la sécurité énergétique » de l’Europe, a-t-elle martelé mardi avant l’ouverture des débats. »
Subventionner les prix avec un bouclier tarifaire c’est évidemment creuser les déficits et la dette, là où il suffirait… de simplement vendre l’électricité française au vrai prix français et pas au prix de la plus mauvaise centrale à charbon allemande.
Reste à voir si la France aura la force de ne pas se faire couillonner ce qui est loin d’être acquis.
Charles SANNAT
Source Le Figaro.fr ici

https://insolentiae.com/prix-de-lelectricite-et-nucleaire-negociation-europeenne-de-la-derniere-chance-pour-la-france/


4°/« Escrologie ». Combustibles fossiles, sortie du charbon : l’UE assouplit sa position pour la COP28
par Charles Sannat | 18 Oct 2023 | Affaires européennes,

Il n’y a que l’Union Européenne qui soit plus faux-cul et plus hypocrite que l’État français.
Alors que vous avez une guerre qui n’en finit plus en plein cœur de l’Europe et cette guerre entraine une pollution effroyable en termes aussi bien militaire qu’en CO2 supplémentaire puisque le « bon » gaz russe a été remplacé en Allemagne par du bien mauvais charbon.
En Israël, ce n’est pas mieux, ce sont des millions de litres de carburant qui sont consommés chaque jour.
Alors pour sauver la planète mangez votre Quinoa et triez vos poubelles, mais faites la guerre… tout va bien se passer.
Comme les hypocrisies volent en escadrille, voici la nouvelle.
« Combustibles fossiles, sortie du charbon : l’UE assouplit sa position pour la COP28 »
Les États membres de l’UE ont adopté lundi (16 octobre) leur position commune pour la COP28, en assouplissant la formulation de l’objectif de réduction des émissions et de sortie des combustibles fossiles de l’UE, afin de parvenir à une décision unanime.
Les 27 ministres de l’environnement européens se sont réunis lundi à Luxembourg pour définir la position de l’UE en vue du sommet COP28 qui débutera à Dubaï le 30 novembre. Ils se sont engagés à tripler la capacité mondiale en matière d’énergies renouvelables et à doubler les améliorations en matière d’efficacité énergétique d’ici 2030.
L’UE œuvrera également pour que le secteur énergétique mondial soit «  principalement exempt de combustibles fossiles  » bien avant 2050 et aspirera à un «  système électrique entièrement ou principalement décarboné dans les années 2030  », selon la formulation convenue.
Hahahahahahahahaha…
C’est principalement faux-cul et ce sera principalement pas efficace, et puis nous allons vers le fait de nous asseoir principalement sur nos beaux principes intenables.
Il est dommage que le principe de réalité ne s’applique pas dès le départ de la décision publique et politique.
Nous faisons n’importe quoi et tout cela se terminera juste par plein de nouveaux impôts que nous paierons.
Charles SANNAT
Source EUrativ.fr ici

https://insolentiae.com/escrologie-combustibles-fossiles-sortie-du-charbon-lue-assouplit-sa-position-pour-la-cop28/


5°/Le S&P 500.. indice vedette de la bourse américaine surévalué de 63% !
par Charles Sannat | 18 Oct 2023 | Bourse et marchés financiers,

« Les actions sont massivement surévaluées et pourraient s’effondrer de plus de 60 %, a prévenu John Hussman. « Les valorisations du marché se situent à l’un des trois niveaux extrêmes de bulle de l’histoire des États-Unis », rivalisant avec les pics de 1929 et 2000, a déclaré l’investisseur chevronné et historien de la finance dans sa dernière note de recherche. Ces deux précédentes périodes de spéculation inconsidérée se sont terminées de manière désastreuse, et la bulle actuelle devrait se dégonfler de la même manière, a-t-il ajouté.
Le président du Hussman Investment Trust a fondé ses sombres perspectives sur une analyse des rendements boursiers au cours du siècle dernier. Il rappelle que pratiquement tous les cycles de marché de l’histoire se sont terminés par un retour aux normes historiques des rendements totaux projetés pour le S&P 500.
« À l’heure actuelle, cela nécessiterait une perte de marché de l’ordre de -63% pour le S&P 500 », écrit-il, ce qui laisse entrevoir la possibilité que l’indice boursier de référence tombe à environ 1.600 points, son niveau le plus bas depuis 2013.
« Il ne s’agit pas d’une prévision, mais certainement d’une estimation historiquement cohérente du risque potentiel de baisse créé par plus d’une décennie de spéculation à la recherche de rendement induite par la Fed », a-t-il poursuivi. « Attachez vos ceintures.
Mr. Hussman a fait remarquer que le S&P 500 est aujourd’hui évalué pour un rendement négatif au cours des 10 à 12 prochaines années. L’écart entre les rendements attendus des actions et des obligations est aujourd’hui l’un des « pires niveaux de l’histoire », et le rendement total de l’indice devrait être inférieur aux rendements des obligations du Trésor d’environ 6,5% par an au cours de la prochaine décennie, a-t-il déclaré. »
Vu la situation actuelle, le volcan au Proche-Orient, les taux qui reviennent de territoire négatif dans le mouvement de hausse le plus fort, il est fort probable que nous connaissions un mouvement de panique et un moment de baisse importante dans les prochains jours ou semaines.
Tenez-vous prêts à agir.
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur http://www.insolentiae.com. »
Source Investing.com ici

https://insolentiae.com/le-sp-500-indice-vedette-de-la-bourse-americaine-surevalue-de-63/